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moyenne
2.76/5

L' Honneur du dragon

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les avis de Cinemasie

10 critiques: 2.45/5

vos avis

36 critiques: 2.76/5

visiteurnote
- 1.5
750XX 0
Bastian Meiresonne 3.75
Black_pantha 2.75
changlong 0.75
chronofixer 3.75
Cuneyt Arkin 2.5
dll_povtyp 3
el sinior canard 0.25
Feiwong 5
Fred30 3.5
FREDDYK 3
hayaji 1.5
hayaku 2.5
Hiro Saka 3
Izzy 3.25
Jérémy 2.75
JET 3
jezekael 1.25
JoHell 4
jool 2.75
Khanheda 4.5
lesamouraifou 4
Manolo 3
Mounir 2.75
Phildu62 4.5
QuyTam 3.75
Samehada 2.75
SanjurOn 3.25
sanosuke 3.75
Sauzer 3.25
Scalp 3.75
Sifu Tetsuo 3
Simon VD 2.25
Spider-Man 0
Tred 1.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

A jeter!

Un gros machin mou et informe que deux coups de genoux et un salto tentent de réveiller durant la première heure. L’ambiance d’éléphant et de gweilo hollywood night font tendre l’ensemble vers le bis mais ne fait en fin de compte que s’approcher d’un fade mainstream mondial typique des direct-to video. On ne s’apitoiera pas sur l’indigence de l’acteur-endive ‘star’ et de la Zhang Ziyi du pauvre. Reste quelque séquences plus rythmée qui viennent (enfin !) apporter de la castagne. Le fameux plan-séquence est bien trop crispé et mou pour convaincre (fallait surtout pas rater la prise !), le déboitage de membres lassant, le combat capoera aurait presque pu être réussi si seulement le réal n’avait pas oublié d’enlever ses moufles. Un recyclage par le bas de l'exotique formule Ong-Bak qui tombera vite dans l’oubli au contraire du mythique Born to Fight, le seul, l’unique ! Comme disait souvent la mère d’mon pote Luigi : j’vais t’bourrer la gueule à coup de genoux !

14 décembre 2005
par -


Elephant Man

Pourquoi changer une recette gagnante ? Le réalisateur PINKAEW et l'acteur/chorégraphe JAA font donc une nouvelle fois équipe pour enchaîner sur leur précédent succès planétaire "Ong Bak". Et d'asseoir définitivement le statut de combattant du jeune JAA en seul digne successeur des plus grands artistes martiaux de ces dernières décennies. Avouons, que l'intrigue louche fortement du côté du précédent "Ong Bak" : au lieu de la statuette religieuse, cette fois ce sont deux éléphants destinés au bon roi thaï qui sont enlevés et emmenés jusqu'en Australie. JAA débarque - perdant au passage son côté de jeune naïf de la Provence - et retrouve rapidement la trace des méchants trafiquants pour s'adonner à ce que tout spectateur du présent film est venu quémander : de la baston. Il n'y a pas à dire, "Tom Yum Goong" dépasse largement les barres déjà hautes de son prédécesseur en enchaînant un nombre incroyable de bagarres toujours plus sophistiquées. Bénéficiant pourtant d'un travail préparatoire moins long que sur le précédent (moins de deux ans contre plus de quatre ans), JAA et son équipe mettent pourtant toute leur expérience acquise entre les deux oeuvres au service pour établir un nouveau mètre étalon en la matière. Allant à l'encontre des câblages numériques actuellement de mise, ainsi que du sur-découpage pour tenter de masquer les carences des interprètes principaux rarement formés aux arts martiaux, JAA et PINKAEW préfèrent - au contraire- de longs et larges plans pour assumer leur maîtrise et le côté sans trucages. Le sommet est atteint avec un plan-séquence hallucinant de fluidité de plus de cinq minutes, gravissant (ou redescendant) plusieurs étages d'un immeuble truffé d'adversaires coriaces. Les combats suivants seront du même acabit, laissant désormais paraître les combats d'"Ong Bak" comme gentiment désuets et enfonçant le médiocre "Born to fight" à mille lieues sous terre. Et à Steven Seagal de montrer comment réellement casser des os au cours d'une autre séquence anthologique de fractures par dizaines. L'intrigue et les ficelles scénaristiques sont au mieux kitsch à souhait, voire carrément caricaturales. Revoilà des méchants punks, déjà ridicules dans un "Jackie dans le Bronx"; il y a également transposition de nombreux personnages tous droits issus des jeux vidéo de baston des années '80s avec de monstres humains, véritables montagnes de masse musculaire. Peu importe, puisque seuls les combats importent et ils sont riches, nombreux et de toute beauté. JAA tient ses promesses sous toutes ses formes. Ne s'imposant toujours pas comme LA star du film, on lui accorde davantage de crédit, de dialogues et de temps de présence à l'écran. Il s'en acquitte avec la plus grande bravoure. Ayant pris en muscles et en âge, il a déjà perdu de sa naïveté juvénile précédente et quelques scènes véritablement enragées le font paraître plus menaçant. Bien que peu servi par un personnage sans relief, il rend parfaitement douleur et tristesse et étoffe (un tout petit peu) une gamme de jeu d'acteur encore largement peaufinable. Au lieu d'une simple resucée, c'est avant tout el travail colossal aux chorégraphies et à l'interprétation de Tony JAA qui remportent la mise. Au contraire de laisser craindre qu'il ne se fasse enfermer dans un certain moule, il réussit à épater par les larges progrès réalisés depuis son premier film. Et de laisser augurer du meilleur quant à sa future carrière à venir !

16 janvier 2006
par Bastian Meiresonne


un bon nanar bien léché avec des bonnes scènes d'action, des méchants bien typés et un héros gentil qui aime les éléphants. c'est très con mais niveau bastons/acrobaties le contrat est rempli. ps: en guest star la danseuse chinoise transexuelle JIN xing, une première je crois.

19 décembre 2005
par chronofixer


Le roi de la jungle a encore frappé , ou cassé plutot !

Oubliez les Bruce lee , Jackie Chan , Jet li et autres utilisateurs minables du cable ! Tony Jaa prouve encore apres Ong Bak , qu'un acteur maitre en Arts martiaux n'a point besoin de trucages pour se faire un nom , mais bien avec son seul et unique corps !

13 novembre 2005
par Feiwong


"L'HONNEUR DU DRAGON" OU "LE MODE D'EMPLOI DES CLEFS DE BRAS"

Oula, il ne faut vraiment mais alors VRAIMENT ne pas chercher une histoire dans ce film. Cette fois, pas de statuette volée mais un éléphant!...ou plutôt deux!!! Le montage en est honteusement baclé et se laisse aller à une succession sans fin de scènes de baston mais bon, c'est le principal et le seul atout du film :) On ne peut pas rester insensible aux prouesses de Tony JAA qui me fait penser au Jackie CHAN d'antant ( d'ailleurs, il y fait un kaméo bien sympa). Pour le reste, c'est un concentré de baston et de clefs de bras à tout va! (surtout dans les dix dernières minutes) Ma note ne correspond qu'aux acrobaties de Tony JAA et à rien d'autre.

15 février 2006
par FREDDYK


Une bouse éléphantesque

Des cascades impressionnantes, certes, mais pour le reste ce film est encore plus creux qu'Ong Bak : Tony balance en tout trois répliques (par contre il disloque jusqu'à la nausée). Les personnages sont anémiques et la construction rappelle par sa complexité le jeu Kung fu master...

24 janvier 2006
par hayaji


Tony Jaa le nouveau Jackie Chan

Comme vous vous en doutez vous pouvez directement oubliez l'histoire (qui peut se résumer à "A la recherche de l'élephant perdu") et ouvrir directement bien grand vos yeux, parceque attention ça déménage sévère. Les scènes d'actions et de combats sont toutes excellentes, et on peut dire que T.J et ses autres compagons sont plutôt doués. Tony Jaa a vraiment un très bon style aussi bien dans la façon de se déplacer que se battre, les combats innovent un peu par rapport à ong-bak même si j'avoue ne pas être friand des envolés genre je sort de nul part à 10m de haut pour donner des coups. Toutes les idées ne sont malheureusement pas bonnes, comme les combats à la teken (contre un gars qui fait de la capoera et contre des hulks monstrueux) ou bien la scène de combats contre des riders en tous genres, c'est trop exagéré pour ne pas préter à sourire et c'est plutôt moins bon que le reste. Et puis comment ne pas penser à Kill Bill lors de la scène de cassage d'articulation. En tous cas niveau accro, Tony assure et la rien à redire, et les amateurs apprécieront : salto, wallflip (celui sur la vitre est mythique, salto avant en reculant.. Je vous ai dit tout à l'heure que le scénario était déplorable (même si j'adore trop l'idée de baser un film sur la recherche d'un éléphant, fallait oser...) et que c'était domage d'avoir du faire autant d'emprunt dans différents films sans innover, mais finalement quand on voit un tel spectacle qui oserait se plaindre. A quand un film avec une histoire à la hauteur des prouesses de Tony Jaa ?

06 décembre 2005
par hayaku


super nanar explosif

J'ai rarement autant rigole durant un film. On prend des chinois (mafieux de preference), des australiens (corrompus jusqu'a la moelle), des thais bien sur, un transexuel, des elephants, des catcheurs, des roulettes, un peu de sexe, beaucoup de castagnes, tony Jaa et Jackie Chan (oui, oui). On fout tout ca dans un mixer, on remue, on shake, et ca donne Tom Yum Goong... Au moins, on s'ennuie pas. Bon, le debut, j'avais eu peur, car le film avait l'air de vouloir se prendre au serieux, mais apres 20 mn de film, c'est bon, on commence a etre rassure. Le sentiment que me procure ce film, c'est un peu comme regarder quelqu'un jouer une partie de jeux videos, genre "street fighter", avec differents niveaux et plusieurs Boss de fin, sauf que le joueur a eu acces aux sheet code pour etre invincible... Et oui, notre Tony va a 100 a l'heure durant 1h30 de film sans etre jamais fatigue, ni meme essoufle, il est insensible au coups, et surtout aux coups de couteaux, qui paradoxalement lui donne plutot une peche d'enfer. Et oui, cote combat, on est servis. Magnifique, je dois dire. Des os qui craquent, en veux tu en voila, des saltos, des pirouettes, des ralentis, sans armes, avec armes,... C'est notamment pour l'excellente qualite des combats que je lui donne quand meme une note de 3. A bon entendeur, salut.

15 août 2005
par Hiro Saka


Un fim de série B de plus sans intérêt autre que l'action pour Tony Jaa, mais force est de constater que le plan séquence est véritablement grandiose. Au final on assiste comme d'habitude à une démonstration technique d'une équipe de cascadeurs plutot qu'à un film.

11 août 2010
par Jérémy


tres violent

Franchement, je suis un peu decu car je m'attendais a de vrais combats de muay thai dans ce film, mais c'est plus de l'aikido et des coups violents sans savoir de quel art martial ils proviennent. De plus l'accent est surtout mis sur les qualités de gymnastes de tony jaa (scene avec les rolleristes) donc ca se rapproche plus de jackie chan que de combats réalistes, de vrais combats de muay boran. Quand au scenario, ca ressemble a ong bak, c'est pas tres recherché mais dans ce genre de film c'est pas ce qu'on attend. Malgré tout la violence des coups et les qualités physiques impressionantes de Jaa font oublier la mediocrité du film. JET

14 novembre 2005
par JET


double dragon

Il faudrait peut etre voir l'honneur du dragon comme la plus cinglante et évidente réponse au "cinéma subtil", cette formule épatante des cahiers pour consacrer un cinéma qui date encore du siècle dernier, et qui ne vit encore qu'en cadavre maintenu artificiellement par une critique hs, en quête d'un peu de chaleur pour passer l'hiver (voir la réponse de burdeau à Séguret -sans commentaires-). Une critique qui cherche encore une grille de lecture à appliquer sur ces passionantes annés 00, qui veut toujours que les images pensent à leur manière, avec subtilité. Chercher la subtilité, l'approche chuchotante -on dit des choses mais jamais trop haut, on fait passer tout en douce-, une autre manière de rester à coté, ne pas prendre le train, laisser filer l'impensé, et ne pas filer soi-même à une vitesse au delà de la vitesse, emporté par l'ivresse des images. L'honneur du dragon nous embarque comme ca, nulle part et partout à la fois. Cinéma épargné de toute subtilité, mais aussi de toute vulgarité et de toute bétise, car la subtilité, la vulgarité ou la bétise, cela se juge. L'honneur du dragon, c'est comme le jeu vidéo, on ne juge pas, on joue sans s'arrête; 3 plans d'exposition, et puis on cogne, on frappe jusqu'à ce que ca finisse en apothéose. Ce n'est même plus ong bak et sa logique de surlignage désamorcant toute causalité en conceptualisant le mouvement; ici la singularité du mouvement même disparait, et c'est le corps même du personnage qui devient concept et personnage hybride, corps cinématographique et vidéoludique, une figure qui ne choisit plus d'être filmée mais de durer. La caméra, bien des fois ne suit plus, le mouvement n'est plus visualisable mais qu'importe puisque le corps, lui, reste. Et tout le reste, l'histoire, les enjeux, les subtilités et tant de choses qui ont pu faire la grandeur du cinéma n'a plus aucune importance devant le défi que lance le film. L'impensé comme vécu. Tout recommencer. Années 00.

16 mars 2006
par Khanheda


meilleur que Ong Bak

Ce film est très loin d'être parfait et mérite pas mal les critiques négatives, néanmoins je le trouve plus réussit que Ong-Bak. Il s'agit un peu plus d'un film, certe bas de plafond, que d'un spot de 90 minutes vantant les mérites de son acteur principal. Le fait que j'ai vu la version thaï du film y est peut-être pour quelque chose car la version sortie en France semble raccourci d'une bonne vingtaine de minutes. Si on ajoute à cela une VF standard pour les films d'action et la musique rajouté par Europa, j'entrevois déjà le massacre...

23 février 2006
par Manolo


Rage of wwf!!!!!

Pourquoi il a été traduit comme ça ce film???? un beat them up sympa. Mais l'époque de la mégadrive ça date. La touche écolo donne un aspect film pour enfant bien venu. Un espèce de mix entre street of rage et dumbo en quelque sorte.

26 avril 2008
par Mounir


Pour les nostalgique !

Croisement entre un Jakie Chan fin 80 début 90 et d'un bon vieux "Beat Them All". - Jackie Chan pour les cascades, les prouesses physiques, l'utilisation du décort. - "Beat Them All" pour la succession des combats, les level avec boss final, les corps des adversaires vaincus que disparaissent comme par enchantement : ) Jouissif !

31 janvier 2007
par QuyTam


Une soupe aux crevettes riche en protéines (mais aussi en matières grasses).

Globalement ce guerrier néléfant se situe peut être un poil au dessus de Ong bak. En ce qui concerne le scénar' c'est tout aussi neu-neu, les personnages sont inexistants (il sert à quoi le flic ? et la fille ?...) et les scènes s'enchaînent n'importe comment (ce qui fait, qu'a certains moments, on est à deux doigts de ne rien piger à un scénario pourtant simplissime). Mis à part ça, la photo est souvent dégueu et, quand ça ne bastonne pas (ce qui est plutôt rare, encore heureux !) L'honneur du dragon est d'une nullité affligeante (voire la scène du bain de boue que l'on pourrait, façe à tant de maîtrise cinématographique, renommer Joy à Sydney )...A ce titre la première demi heure, entre les scènes d'exposition réalisées par l'office du tourisme thaï et l'incompréhensible poursuite en bateaux (montée par Leatherface), s'avère plutôt pénible. Donc L'honneur du dragon est exactement comme Ong bak, c'est à dire un gros Z des familles bénéficiant de scènes de baston jouissivement bourrines et portées par un athlète surhumain et des cascadeurs scuicidaires ? Wé ! Sauf que sur ce dernier point, Tom yum goong fait plus fort qu'Ong bak...Les combats, contrairement au reste du métrage, font preuve d'une mise en scène un poil léchée (enfin, c'est pas OUATIC ou Fist of legend, mais ça reste correct) comme nous le prouvent les 2 plans séquences (celui dans le hangar -avec les tramways- m'a vraiment impressionné car plus fluide que le second, pourtant pas mal du tout) ou le combat (magnifiquement chorégraphié) contre le capoeiriste. En résumé on dira que les exploits du père Tony sont largement aussi impressionnants que dans Ong bak, à la différence près qu'ici la réalisation suit un minimum. De même les affrontements sont plus fun et variés pour la simple raison que dans Tom yum goong on alterne combat chorégraphié (ce qui manquait à Ong bak...Voire la scène dans du temple) et démasticage en règle (la géniale séquence dite des 100 membres cassés)...De même les adversaires qu'affronte Tony Ja sont plus graphiques (le rasta scarifié, la montagne de muscles etc...) et offrent des techniques plus variées que dans le précédent film de Prachya Pinkaew. En gros, Tom yum goong c'est 40 pour cent de Z crétin (bien cu-cul la praline par moment) et mal branlé contre 60 pour cent de bastons "over the top" à la fois félines et carrément brutales (et jamais trop répétitives).

18 août 2006
par SanjurOn


faut toucher au éléphants de tony

il y a de trés bonnes cascades et de très bons combats assez violent ( comme en témoigne la scène ou Tony Jaa ce bat contre centaines de gars, ont rarement vu autant de pétage de membres à la suite)

25 septembre 2006
par sanosuke


Ong Bak 2

Même realisateur (mauvais...) Mêmes acteurs Même histoire (enfin presque...) Même combats (nombreux, efficaces et bourrins à mort...)

26 janvier 2006
par Sifu Tetsuo


Le scénario tient sur un morceau de p-cul. C'est l'histoire de Kham, un paysan thailandais, qui se fait voler ses éléphants. Il va partir en Australie pour les récupérer (et ça s'appelle l'honneur du dragon... où est le rapport avec les éléphants?) et se bastonner avec plein de types.

23 février 2006
par Spider-Man


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