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Drug War


Le Grand Prix du Festival de polars de Beaune 2013 se voit décrypté par notre camarade Xavier, lui aussi emballé par ce retour en forme de Johnnie To à ses chers gunfights d’antan. Bon cru et (The) mission réussie !

Le chat botté


A l’occasion d’une énième ressortie en salle du Roi et l’oiseau, Arno CW – encore lui ! – découvre sur le tard Le chat botté en DVD, célèbre anime joyeux des années 60 de la Toei dans lequel officia le sieur Miyazaki. Avant son château de Cagliostro, il s’inspirait déjà de l’œuvre de Paul Grimault (alors toujours au format « La bergère et le ramoneur ») pour illustrer son segment : tout le climax dans le château. Comme d’autres avant lui, notre Last Man on Cinemasie nous dit le plus grand bien de cette véritable et merveilleuse œuvre collective.

La tanière de la bête


En parlant d'Abraracourcix, avec Santa Sangre et Only God Forgives en voilà un autre de célèbre, de bras, qui se fait trancher dès le début de ce 3ième épisode de la femme que l'on continue à appeler Scorpion. Au membre de jouer un rôle, de se promener plus ou moins paisiblement dans le film. Et à Arno CW, enchanté, de l'accueillir à bras ouverts ! On ne saurait trop vous conseiller de lire également les avis de ses comparses sur ce bijou exploit' de 1973.

Only God Forgives


La Thaïlande est à l’honneur dans le dernier film en date du danois Nicolas Winding Refn. En France, s'il bénéficie du buzz tout frais de la politisation de l’objet au sein du Parti Socialiste, qui consiste à savoir si le degré de sa violence doit empêcher les moins de 16 ou 12 ans d’aller le voir, sans polémiquer Arno CW préfère vanter les nombreux mérites de l’œuvre. Il propose sa vision du film en même temps qu’il nous dévoile les quelques inspirations importées directement du ciné de genre asiatique. Et insiste sur la révélation d’un acteur à suivre : Vithaya Pansringarm.

SF en vue ! Quid du passé ?


A l’heure où l’on attend, la bave aux lèvres, le Transperceneige de Bong Joon-Ho (The Host) et, outre-Atlantique, les très prometteurs Gravity d’Alfonso Cuarón (Les fils de l’homme), Interstellar de Christopher Nolan (The Dark Knight) - qui n’a semble t’il aucun rapport avec notre Interstella 5555 matsumoté – et autre Stratégie Ender tirée d’un bouquin qui influença peut-être bien comme il faut la série Evangelion d’Hideaki, l’on peut s’amuser à jeter un œil par-dessus notre épaule. Contempler ce qui existe déjà en Asie rayon SF, ce qu’en ont dit les cinemasiens. Liste certainement pas exhaustive mais notons une nette domination quantitative et qualitative des mangas et de la japanime !