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De Bedevilled à Blood Island


Retitrée Blood Island pour son exploitation vidéo chez nous, l'ex bête de festival coréenne Bedevilled - Grand Prix à Gerardmer en 2011 - se voit une nouvelle fois évoquée dans nos pages. A Arno CW d'accoster sur cette île et de compléter le guide du routard local le temps d'une petite critique... taillée à la serpe.

Drug War


Le Grand Prix du Festival de polars de Beaune 2013 se voit décrypté par notre camarade Xavier, lui aussi emballé par ce retour en forme de Johnnie To à ses chers gunfights d’antan. Bon cru et (The) mission réussie !

Le chat botté


A l’occasion d’une énième ressortie en salle du Roi et l’oiseau, Arno CW – encore lui ! – découvre sur le tard Le chat botté en DVD, célèbre anime joyeux des années 60 de la Toei dans lequel officia le sieur Miyazaki. Avant son château de Cagliostro, il s’inspirait déjà de l’œuvre de Paul Grimault (alors toujours au format « La bergère et le ramoneur ») pour illustrer son segment : tout le climax dans le château. Comme d’autres avant lui, notre Last Man on Cinemasie nous dit le plus grand bien de cette véritable et merveilleuse œuvre collective.

La tanière de la bête


En parlant d'Abraracourcix, avec Santa Sangre et Only God Forgives en voilà un autre de célèbre, de bras, qui se fait trancher dès le début de ce 3ième épisode de la femme que l'on continue à appeler Scorpion. Au membre de jouer un rôle, de se promener plus ou moins paisiblement dans le film. Et à Arno CW, enchanté, de l'accueillir à bras ouverts ! On ne saurait trop vous conseiller de lire également les avis de ses comparses sur ce bijou exploit' de 1973.

Only God Forgives


La Thaïlande est à l’honneur dans le dernier film en date du danois Nicolas Winding Refn. En France, s'il bénéficie du buzz tout frais de la politisation de l’objet au sein du Parti Socialiste, qui consiste à savoir si le degré de sa violence doit empêcher les moins de 16 ou 12 ans d’aller le voir, sans polémiquer Arno CW préfère vanter les nombreux mérites de l’œuvre. Il propose sa vision du film en même temps qu’il nous dévoile les quelques inspirations importées directement du ciné de genre asiatique. Et insiste sur la révélation d’un acteur à suivre : Vithaya Pansringarm.