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moyenne
1.82/5
Three: The Wheel
les avis de Cinemasie
4 critiques: 1.31/5
vos avis
19 critiques: 1.26/5
Dur dur...
Comme j’ai décroché au bout de 5 minutes, j’avoue que j’aurais bien du mal à vous exposer clairement mon avis sur ce moyen métrage thaïlandais trop confus et trop banal pour retenir l’attention. Les autochtones seront peut-être touchés par cette histoire de malédiction à l’origine d’évènements troublants dans une petite communauté de marionnettistes, aux images plus colorées et à la mise en scène plus dynamique que dans les 2 autres films composant le triptyque Three. Pour les autres, ce n’est pas gagné d’avance…
Nonzee Nimibutr, est-ce bien toi ?
Déception que ce épisode du tryptique
Three, surtout pour qui a vu
Nang Nak, autre opus fantastiquo-campagnard de Nonzee Nimibutr. Lequel ne cherchait pas vraiment midi à quatorze heures non plus, mais avec une efficacité étonnante, le tout beignant dans des paysages envoûtants et dans une tristesse très contagieuse. Ici il n'y a pas vraiment d'émotion, bien que le contexte soit le même (utilisation des us et coutumes locales, village à la campagne...). On suit cette histoire trop répétitive sans trop de problème, mais la peur n'y est pas. Ni l'émotion. Dommage.
Ennui profond
J'ai malheureusement eu assez de mal à tenir sur celui là ; plus long et le décrochage aurait sans doute été inévitable. L'histoire n'est pas très palpitante et ressemble plus à un conte pour enfant qu'à un réel film fantastique. Les personnages adoptent tous un profil trop simple et stéréotypé et aucun n'a l'air de connaître le doute ; ainsi chacun campe pendant tout le film sur ses positions, et le final qui laisse penser que la volonté humaine est faible aurait pu montrer un peu plus d'hésitation dans l'oeil du responsable, évitant ainsi de donner une conclusion bâclée, facile à comprendre pour enfants de moins de 12 ans. Le jeu des acteurs n'étant pas non plus à un haut niveau, le film aurait eu sa place chez KD2A mais au milieu d'une trilogie fantastique où les autres jouent à un plus haut niveau, on regrette quand même beaucoup.
22 juillet 2005
par
Elise
La roue tourne, mais pas toujours dans le même sens... (cf. Megaforce)
Euh... ça fait toc.
Cet opus n’a pas vraiment d’intérêt, l’idée n’a en plus rien d’original, et les poupées maléfiques rien de terrifiant donc il gâche un peu l’ensemble de Three. De plus il est mal filmé, et même les scènes censées faire peur aux spectateurs sont pour ma part grotesque. Je recommande de le regarder en premier pour moins être déçu (et de ne pas faire comme moi qui l’ait vu après les deux autres) au final.
Une bonne surprise
Original et intéressant.
Si apparemment personne n'a aimé, moi ca m'a rappelé mes voyages en Thailande dans lesquels cette histoire de marionnettes a trouvé quelques résonnances...
Dommage d'ailleurs qu'il n'y ait pas un peu plus de scenes de khon.
Beuuuuurk
Le plus mauvais des 3 :/
Pas très Fantastique !!
Pour l'exotisme thaï c'est un bon point car les films d'une tel provenance sont rare en france mais pas indispensable. Le maitre mot du film est la cupidité qui va entrainer les villageois à leur perte. Ce serait plutôt une fable à prendre comme on peu.
Le plus mauvais des trois films...
Scénario finalement classique qui cette simple histoire de malédiction. Les marionnettes ne semblent jamais effrayantes, on s'ennuie ferme et tout est prévisible. A oublier...
Jeu de mort
Avec "The Wheel", Nonzee reste fidèle à lui-même. Il imagine une Thaïlande d'une autre époque, plante son intrigue au milieu de la cambrousse profonde thaïlandaise et s'attache à dévoiler un autre aspect profondément culturel de son pays (l'art du khon); malheureusement, comme plombé par ce travail de commande, il ne réussit à aucun moment d'outrepasser sa simple histoire de départ. Allant parfois trop vite en besogne, puis étirant inutilement des scènes répétitives en longueur, c'est comme si le réalisateur ne savait s'accommoder à son carcan temporel imposé, à avoir peur de ne pas pouvoir développer suffisamment personnages et situations avant de re-servir une même scène pour s'assurer de bien faire comprendre l'intrigue à son public. Pourtant, il y avait de quoi faire avec cette histoire de poupées hantées, rien qu'en exploitant l'apparence déjà forcément terrifiante, puis en intégrant davantage des scènes traditionnelles. Curieux de la part du réalisateur de l'un des films d'horreur les plus gothiques et enthousiasmants de ces dernières décennies, le bien-nommé "Nang Nak"…