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The Final Option

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les avis de Cinemasie

7 critiques: 2.57/5

vos avis

21 critiques: 2.94/5

visiteurnote
arnaud1987 4
Bastian Meiresonne 3.5
bluesky 0.25
CASH 2.75
Dakysto 3.5
el sinior canard 3.25
Fred30 4
FREDDYK 3
Hots@uce 3.5
jeff 1
Jérémy 3.75
jinchu 3.25
lo sam pao 3
Maggielover 1.75
Manolo 2.5
Phildu62 2.75
Pikul 3
QuyTam 4
Scalp 3
Sébastien 2
Secret Tears 3
TsimShaTsui 3.75


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Très bon film d'Action

Un tres bon film d'action non violent et donc reserve a un large public!

05 janvier 2002
par arnaud1987


Home Work

Un des succès surprise de l'année 1994, le film lança une furtive carrière à son acteur principal Michael Wong et engendra d'une suite bien inférieure deux ans plus tard. Si la scénarisation est simpliste au possible, Gordon Chan exploite tout de même assez subtilement un melting-pot de genres typiques au cinéma HK et aborde quelques idées adultes surprenants pour une telle production. Mais hésite finalement à en faire une vraie oeuvre auteurisante... S'inspirant largement des soap policiers japonais très en vogue dans les années '90s, aussi bien dans leur pays d'origine (cf "Bayside Shakedown"), que lors de leurs passages TV hong-kongais, Chan se réfère pourtant plus à l'explosion des "cops and robbers" HK des années '70s. Véritable phénomène, les series policières ont énormement influencé le paysage TV HK, puis ont permis une re-naissance de son cinéma. On y voyait tout d'abord des faits divers sordides, pour s'intéresser de plus en plus à différentes unités policières au fil des séries. Abordant un côté de plus en plus réaliste, les productions détonaient par un côté moderne, vrai, brut. Fini le temps des Shaw en costumes et intérieurs / extérieurs studio. La "Nouvelle Vague" menée par Ann Hui et Tsui Hark s'en est d'ailleurs largement inspirée. Gordon Chan exploite ce côté brut, en intégrant un emploi d'une caméra largement portée à l'épaule, des couleurs naturelles, pour donner de la véracité à son sujet. De l'autre côté, nous assistons à une série d'entrainements, qui renvoie directement aux plus classiques des films kung-fu, où le héros se devait de resister à des épreuves pour affronter son adversaire dans une finale. De là à dire, que les membres sont de l'étoffe d'un Gordon Liu ou Jackie Chan... Du côté de l'intrigue, elle tiendrait sur un ticket de métro et laisse donc plus largement la place à un développement en profondeur des situations et personnages. Si - au final - Chan ne réussira qu'une succession de scènes assez superficielles, l'on ne peut être surpris que par leur place préponderante au sein du film. Privilégiant clairement la vie intime aux scènes d'action, Chan exploite avant tout les rélations difficiles entre homme et femme, vie de famille et travail. Etant confondu moi-même au problème de faire des heures sup' (non-payées) sans fin et me prenant par ailleurs encore le temps de regarder critiquer (à la va-vite sur CE site) des films asiatiques, la vie de couple en pâtit bien des fois. S'imaginer de plus exercer un métier difficile, où le risque de mourir est quotidien semble effectivement une lourde charge à porter. Le réalisateur l'évoque plus d'une fois et son propos est tout à fait louable, humainsant les personnages, au lieu d'en créer des super-héros machistes à l'instar d'un Willis. Malheureusement, là aussi, Chan n'est pas allé au bout des choses; il en devait être conscient, la préquelle de ce film ds'axant encore d'avantage sur la vie intime des personnages, seule qualité du film. "Final Option" est donc bien plus qu'un simple actioner et aborde quelques aspects intéressants, sans jamais aller au bout des choses. Un traitement plus mature des séquences "intimes", ainsi que des scènes d'action (le méchant, à peine développé; la fin correcte, mais sans casser des briques). Un film de divertissement se classant au-dessus de la moyenne des actioners HK, mais n'atteignant pas les ambitions projetées.

12 mai 2004
par Bastian Meiresonne


Bienvenu chez helène et les garçons du sdu

Argggggghhhhhh!!!!!!

01 novembre 2001
par bluesky


PAS TRES PRENANT MAIS BON...

On a vu mieux en matière de SDU. C'est correct mais sans plus. Manque de rythme (hormis le dernier quart d'heure)

18 mars 2002
par FREDDYK


film sans punch

film sans punch avec beaucoup trop de temps mort et un manque d'action assez flagrant. si vous voulez voir comment on entraine une unité d'élite passez vous le fantastique "full metal jacket" de stanley kubrick a coté de ça les hommes de michael wong (tres moyen)sont des eleves de la star academy

28 octobre 2001
par jeff


Une intéressante approche "sitcom" pour ce film très documenté. Un bon moment.

10 août 2010
par Jérémy


le classic film du grope d'intervention.

Comme pas mal de film de ce genre le film ("les 12 salopards" par exemple) suit une trame assé classique recrutement/entraînement difficile puis une fin contre un méchant vite envoyé. Le film essaye quand même de développé le coté relationnel, la difficulté des couples à tenir malgré le métier a risque de l’un d’entre eux.

20 mai 2005
par jinchu


C'est la lutte finale.

Dans cette espèce typique du cinéma de Hong-Kong qu'est le film "hybride", Final Option est un autre très bel exemple. D'abord parce que, historiquement, il pourrait marquer rétrospectivement l'annonce du travail que To, Yau, etc., réaliseront plus tard avec la Milkyway Images : Final Option est une tentative pour activer dans le cinéma le lexique visuel de la TV, tentative ausi vieille, s'il faut en croire Skorecki, que l'histoire du cinéma lui-même (c'est-à-dire que le cinéma avait deviné la TV avant même qu'elle n'existe), mais aussi une tentative pour, à travers l'esthétique télévisuelle, déplacer le lexique sémantique (le code) du genre - ici, le polar. Final Option serait alors hybride parce qu'il se situe dans une charnière historique qu'il inaugure d'une certaine manière (Full Alert de Ringo Lam pourrait être un autre exemple de cette inauguration) mais qu'il n'assume jamais dans son geste de production. S'il y a une justification prétendue à ce geste, ce n'est en effet que celle de la vérité documentaire, comme toujours chez Gordon Chan (cf. Fist of Legend). Mais Final Option est aussi hybride d'un autre point de vue : parce que les articulations rhétoriques qu'il tire de l'esthétique télévisuelle ne s'y assument pas davantage que sa situation historique. Les cadres tremblés, la fausse redécouverte des proportions carrées (parce que le carré "fait" TV, il "fait" écran, donc il "fait" document, transmission, communication, vérité, etc.), le langage de la franchise (voir la scène du premier baiser Michaël Wong et Gigi Leung), ne réusissent jamais à gommer leur statut d'instruments machinés. Car cette machination saute aux yeux dès qu'une actrice féminine rentre dans le champ : elles sont tout simplement trop belles pour le film, elles l'hystérisent, l'explosent, le réduisent à l'état de pellicule grotesque et faisandée - comme c'est aussi le cas, mais dans une bien moindre proportion, dans Expect the Unexpected. L'image-vérité se transforme en chromo-décor pour corps glamours, et alors rien ne va plus.

01 mars 2002
par Maggielover


Vive Carman Lee !

Un bon film d'action, sans énormément d'action, mais avec Carman Lee !

25 mars 2004
par QuyTam


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