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Ditto

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les avis de Cinemasie

3 critiques: 2.83/5

vos avis

22 critiques: 3.41/5

visiteurnote
aucun 3
Black_pantha 3
cityhunter 3.25
Epikt 2
french touch 3.5
geez 4.5
gerald 3
Hidelirium 3.75
Hots@uce 3.5
Inoran 2
Izzy 4.25
JoHell 2.75
JUKA 3.25
koalaurent 2.75
Krakeninc 5
lesamouraifou 4.5
Peter_mc_fly 4
Pikul 2.5
Scaar Alexander Trox 3.5
Secret Tears 3.5
tu0r 3.5
ultima 4


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

lost in time

Le pitch va tout de suite penser au très chouette Il-Mare sorti la même année, avec plus d'années de décalage et moins de romance. En moins prenant aussi. Le pot-aux-roses est vite découvert, ainsi que les liens entre différents personnages - faut dire que c'est pas forcément super original. Mais ça passe plutôt agréablement le temps, à défaut d'être renversant.

03 décembre 2006
par Epikt


Time Capsule

Belle histoire en apparence mais la fin, est sans la raconter fort dommageable...

18 mai 2003
par french touch


Mouais, du déja vu malheureusement...

Ditto est vraiment identique à Il Mare en de nombreux points. Il s'inscrit dans les "romances" à thème "décalage temporel entre lui et elle". Ayant vu Il Mare avec celui-ci, je me suis donc retrouvé devant un scénario très classique, déja vu, sans vraiment de rebondissements ni rythme en fin de compte. Le film se laisse voir cependant, mais il ne faut pas avoir peur des longueurs qui sont assez récurrentes.

09 mars 2004
par koalaurent


Ditto, un vrai beau film. Prenant et romantique.

Ditto est un film touchant, avec de véritables belles scènes qui donne à l'ensemble beauté et tendresse. Les deux acteurs principaux sont justes, qu'ils sont beaux à parler à la CB, et à partager leur coeur et leur âme avec l'autre à travers l'espace temps. Le rebondissement principal relance le film qui devient plus mélancolique. On passe de la comédie romantique à quelque chose de plus prenant, de plus touchant. Une petite merveille ! Un film à voir, à posséder ! Saz..

16 août 2002
par Peter_mc_fly


Mmmmmmh... Kim Ha-Neul!

Passons le côté déjà vu: en plus d'avoir été quelque peu exploité dans le joli mais mou "Il Mare", le concept de base du scénario de "Ditto" (sens?), c'est texto celui de "Fréquence Interdite" (avec Quaid et Caviezel), la romance remplaçant le thriller. Mais si l'on devait blâmer tous les films atteignant ce taux de points communs, les vidéothèques seraient à peine plus fournies qu'un rayon de superette. Prenons alors, forts de notre immense mansuétude, l'idée comme elle est: riche en rebondissements et à la dimension emballante; même si l'on s'amuse durant tout le film à trouver les pts communs entre "Ditto" et "Fréquence..."! On démarre donc "Ditto" avec de grandes espérances; après tout, il y a de la matière narrative là-dedans: que ce soit dans le potentiel thématique du parallèle entre deux époques, l'idée du lien amoureux séparé irréversiblement par une dimension (rien que ça! ;)). le message social... et mine de pathos cultivé que ça représente - un peu à la "Nimitz - Retour Vers L'Enfer"! Résultat: "Ditto" est bon, mais laisse un sérieux goût d'inachevé. Avec un sujet pareil, le risque aurait été que le cinéaste se perde, parte dans tous les sens, se répande trop, transforme son film en bordel indigeste ne pouvant jongler avec tant d'informations en moins de 2 heures; que nenni: dans "Ditto", on a l'impression que le brave scénariste n'a pas grand chose à raconter d'autre que les aventures amoureuses de ses personnages communs. On a certes quelques anecdotes par-ci par-là, mais rien de bien bandant, rien d'enivrant, rien de grand. C'est plan-plan, même dans les manifs d'étudiant ressemblant à des kermesses. De plus, on ne constate pas de travail particulier sur l'image pour illustrer les deux époques, mis à part une lumière quelque peu froide pour le présent (à la "Little Buddha" - que c'est original!). A ce titre, l'emballage de "Ditto" n'est franchement pas exceptionnel: notre tâcheron de service, s'il réussit là de beaux cadres assurant le minimum syndical du cinéma coréen (donc d'une bonne qualité au final), sans une once d'inventivité cela dit, massacre le spectacle au montage son, coupant les thèmes musicaux à chaque changement de scène (effet des plus affreux), thèmes musicaux d'une BO absolument minable soit dit en passant. Heureusement que JS Bach vient sauver les meubles sur la dernière partie du film - c'est simple mais efficace. D'ailleurs cela résume très bien la chose: "Ditto" est visuellement et musicalement discret dans l'ensemble, et c'est tant mieux. parce que discret implique ici classieux, et que quand il ne l'est pas, c'est insupportable (cf ce morceau au piano hystérique digne de "Santa Barbara"). Donc donc donc... pas grand chose d'intellectuel à se mettre sous la dent, et ça ne fait que se suivre sans déplaisir par les yeux... intrigués malgré tout. Par quoi? eh bien, la bonne partie du film, celle sur laquelle les auteurs ont tout donné à la force de leurs petits doigts: la partie romance. Parce que s'il y a un truc qu'ils savent bien faire, les coréens, c'est les romances! bon, parfois c'est totalement insipide, mais en temps de guerre faut des victimes. Ici, même si on sent totalement ni la splendide innocence ni les tumultes poétiques des amourettes de jeunesse que l'on trouve dans un "Koukou Kiyoshi", ça reste très plaisant: que ce soit dans le présent (le héros et sa camarade amoureuse trop collante qu'il ne supporte donc pas mais aime en réalité, baaah c'est pas super inovant mais toujours fun!) ou dans le passé - même pris à part, ces petites historiettes sont toujours agréables à suivre; puis lorsque les deux parties se rejoignent ("il" et "elle" partageant forcément des amis communs à deux époques différentes!), le caractère romantique de "Ditto" prend toute sa dimension, un peu à l'image de cette scène où il découvre des photos "vieilles" d'elle sur une Majeure de Bach... dans ces moments là, on sent toute la charge du concept de départ. Pour finir, si "Ditto", malgré ses quelques défauts sérieux, reste un bon film, c'est grâce au casting, nickel comme à l'habitude du cinéma coréen, et surtout, SURTOUT de Sky Kim (Kim Ha-Neul, "Ha-Neul" voulant dire ciel, qu'ils sont poétiques ces coréens!). A présent actrice connue grâce à des dramas et un carton au B-O, elle en était à l'époque de "Ditto" à son deuxième film (il n'y a que 4 ans, relativisons). Très émouvante dans l'excellent drama "Romance", bluffante d'énergie dans "My Tutor Friend", à son top dans "Don't Believe Her", elle est ici, coupe de cheveux nature et longue + rôle sérieux aidant, à tomber amoureux + par terre. A elle seule, elle donne au film la douce mélancolie de son jeu coquet, et sa présence illumine l'écran. Quant à Yu Ji-Tae, comme pas mal d'acteurs dans le cinéma coréen, il se revèle durant la deuxième moitié du film, plutôt impliqué dans tout le bazar. Pour finir, la super-mimi Ha Ji-Won, bombe de "Sex Is Zero", se montre ici loin de ses autres personnages en colleuse fêtarde attachante, et conquiert un peu plus son public. Donc au final, pour peu qu'on soit amateur de romances inoffensives, on suit avec plaisir les déboires amoureux du héros et de l'héroine avec en bonus considérable cette alternance d'époques, pas bien exploitée mais à la base efficace, se suffisant presque à elle même! Cela dit, la fin de "Ditto" laisse perplexe quant à sa destination. Mis de côté ce trèèèèèèèès très beaux face à face final (dont je ne dis rien de plus), il réside dans l'idée même de cette fin ni triste ni joyeuse, plutôt fataliste, un sentiment comme je le disais au début d'inachevé. Clueless, comme on dit à la East Coast. Ces coréens...

23 mai 2004
par Scaar Alexander Trox


Dans la lignée d'Il Mare... et tout aussi excellent

Ditto aborde le même thème qu'Il Mare sorti la même année, à savoir la relation entre un garçon et une fille à travers un décalage temporel. Ici les lettres ont laissé place à la CB, mais les mécanismes restent les mêmes. Et comme pour Il Mare, une intrigue originale mêlée à des personnages attachants font que la sauce prend. Il faut dire que le trio d'acteurs de tête, Yu Ji-Tae, Kim Ha-Neul et Ha Ji-Won (malgré un second rôle) est fabuleux, pleinement capable de nous offrir toute la sensibilité et la subtilité nécessaires au bon développement de l'histoire. Ditto parvient à être triste, vraiment triste, sans sombrer dans la tragédie à la coréenne du "je te fais crever un des persos principaux et te fais bien ressentir la détresse de l'autre" (qui marche à tous les coups, il faut bien l'avouer). Le scénario est très habile, au final ni triste ni joyeux, mais résolument fataliste. Ditto peut se targuer d'avoir un climax au moins aussi intense et émouvant que celui d'Il Mare, tout en étant bien moins "tire-larmes" et ne jouant pas la carte de la scène choc. La force de ce climax ne réside pas dans la scène elle-même, mais dans tout ce qui a conduit les deux protagonistes à cette scène. Et rien que pour ça, moi je dis respect. Voilà pourquoi Ditto se doit de faire partie de votre vidéothèque. Rien d'autre à ajouter.

26 septembre 2006
par ultima


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