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Contes des Chrysanthèmes tardifs

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les avis de Cinemasie

2 critiques: 3.75/5

vos avis

14 critiques: 4.09/5

visiteurnote
Bastian Meiresonne 4
Epikt 3.5
hkyume 4
Hojo 3.5
Illitch Dillinger 3.75
k-chan 4.5
La girardasse 3.75
lo sam pao 3.75
mattMAGNUM 4.25
Mounir 4.25
nisei 5
Pikul 4
SuperDurian 5
zybine 4


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

La dernière séance

Magnifique drame romantique du maître Mizoguchi. Parfaite retranscription du théâtre kabuki et d'une époque révolue, Mizoguchi étonne par la maîtrise de sa mise en scène et son don pour dresser le portrait de personnages. Le dévouement de la jeune geisha pour son amant artiste est sincèrement touchant. Une histoire simple , un brin trop longuette et à la fin prévisible, mais qui brave les époques pour rester d'une modernité sans failles de nos jours.

02 mai 2005
par Bastian Meiresonne


Excellent mais peut etre legerement trop long

08 mai 2002
par La girardasse


une étape pour mizoguchi....

tout est ici déja en place et ce bien avant la période des chef d'oeuvre plus connus de mizoguchi comme "ugetsu": une réalisation déja si délicate son regard si pertinant sur les femmes,etc..... a voir bien que je trouve son film trop long

23 mars 2004
par mattMAGNUM


C'est en forgeant qu'on devient forgeron

Une grande réussite tout-à-fait typique de Mizoguchi : le monde de l'art (ici, le théâtre kabuki), la figure de l'artiste (ici, le rejeton d'une famille d'acteurs, soumis à une forte tension entre ce qu'il perçoit comme son manque de talent et son envie, parfois ambigue, dedevenir un artiste) et l'inévitable femme sacrifiée, à la fois amante, soeur et mère de l'artiste.
Comme indiqué par les autres commentateurs, le dispositif formel est en place (travellings somptueux, plans séquence, interdiction absolue des gros plans et même des plans moyens sur les acteurs) ; je ne trouve pas le film trop long en revanche. Comme toujours, et c'est parfaitement évident lorsqu'on revoit une deuxième fois un Mizoguchi, il est difficile de retrancher quoi que ce soit.
Sur un thème proche, on peut quand même préférer le plus puissant L'amour de l'actrice Sumako (1947).

24 novembre 2008
par zybine


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