The Lord of the Wrong 
30mn. J'ai tenu 30mn. C'est déjà bien, car c'est nul de chez nul pour qui n'aime pas un minimum les annexes (pseudo) complétistes d'une œuvre. Narration calamiteuse, musique à l'avenant, personnages creux, character design et histoire lambda, animation honteuse pour un film porté au ciné. On se croirait devant un DTV d'une suite du Rebelle de Walt Disney, sinon d'une OAV de Skyrim. Cohérent avec la série déjà bien laborieuse des Anneaux de pouvoir. L'interrogation, tout de même : quid de Kenji Kamiyama ? D'artiste notable post rétrocession - ah merde je confonds, mais y'a un lien qq part - avec le lead de la chouette série GITS SAC il devient mercenaire outre-atlantique de ce genre d'extension après-vente accessoire (Star Wars, Blade Runner etc) et incarne cet abandon du vieux au profit du chèque à palper en même temps que la déliquescence d'un certain savoir faire japonais. Toujours à l'œuvre et frais ailleurs, mais certainement pas (plus) ici.