ma note
-/5

Nous étions soldats

nombre de notes: 1nombre de notes: 2nombre de notes: 1nombre de notes: 0nombre de notes: 2nombre de notes: 0nombre de notes: 1nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0

les avis de Cinemasie

2 critiques: 1.88/5

vos avis

5 critiques: 1.2/5

visiteurnote
Bastian Meiresonne 0.75
Cuneyt Arkin 0
Fred30 2.25
le-maitre-chinois 3
Nabuca 1
Secret Tears 2


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Le viet est méchant, l'américain est bon!

Voila somme toute la thèse de ce film résumée en une ligne. Pour le reste, c'est Black Hawk Down au Vietnam: de la boucherie et encore de la boucherie. C'est gore et dégueulasse mais le plus dégueullasse c'est quand les cretins américains nous disent sans frémir qu'ils sont contents de mourir pour leur patrie. Beurk! Avec en bonus une des répliques les plus débiles du cinéma: Mel Gibson: Je me demande ce que Custer a du ressentir en envoyant ses hommes à la mort... Son Faire-valoir: Le colonel Custer était une tapette! Pas vous mon colonel! God bless America!

28 juillet 2005
par Cuneyt Arkin


Un navet hilarant, bien que celà soit assez triste que ce soit le cas... On tient ici sans doute le principal responsable des flops de "Windtalkers" et "K.19": devant un tel déchet, comment voulez vous que le public ait pu avoir envie de retourner voir des films de guerres? Pour Randall Wallace, héroisme= sacrifice quasi religieux. Les 40 premières minutes ressemblent à une horrible messe ou tout le monde se prépare à crever, l'édification du monument au mort est déjà faite en somme: tout le monde semble chialer dés le premier plan. Gibson impose une figure paternaliste peu subtile et repoussante, mais il faut dire que de toute manière, à côté de tout celà, mème "The Patriot" est un monument de nuance. "Il faut hair la guerre, mais aimer les soldats" dit le véritable Moore dans le making off... c'était déjà le discour de "Saving private ryan", et bien qu'étant un détracteur du film de Spielberg, je dois dire qu'il sort incroyablement grandi de cette commémoration qui a le summum d'être à la fois atrocement plate et pompeuse, représentatif d'un cinéma hollywoodien sans style ni regard. La bataille dure trois jours mais n'a aucune intensité dramatique, soufffe d'un montage alléatoire et une mise en scène qui semble dénuer de tout art de composition et de découpage. "je ne sais pas comment raconter cette histoire" dit Barry pepper; ce serait le réalisateur que ce serait la mème chose. C'est bizarrement quand il film l'ennemi que le filme touche le plus: il ne prend pas les vietnamiens comme des abrutis, reste sobre. Un des rares pourcentages de justesse de l'oeuvre. Sinon, c'est vrai que les chirurgiens ont défiguré la pauvre Madeleine Stowe... C'est pas possible des choses comme ça!

31 mai 2003
par Nabuca


info
actions
plus
  • liens
  • série/remake
  • box office
  • récompenses
  • répliques
  • photos
  • bande annonce
  • extrait audio