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Orochi

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6 critiques: 2.08/5

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antigone 1
Bastian Meiresonne 1.5
Inoran 2.25
Izzy 3.75
Pikul 1.5
Samehada 2.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Sœurs de sang

En réalisant le projet indépendant "Scary true stories: ten haunting tales from the japanese underground", Tsuruta Norio s'était clairement posé en tant que précurseur de la future vague des "J-Horrors "à déferler quelques années plus tard. Malheureusement, il n'a jamais pu confirmer ces débuts prometteurs par al suite, signant les paresseux "Ring 0: Birthday", "Scarecrow" et "Premonotion"; et son actuel "Orochi", puisant une nouvelle fois son inspiration dans (deux, "Sisters" et "Blood") les nombreux mangas d'Umezu Kazuo ne sra très certainement à l'avènement d'aucun autre courant à venir non plus.
Ressemblant à s'y méprendre à un épisode de la série américaine "Contes de la crypte", l'histoire jouit certainement de jolis décors et d'une certaine atmosphère (au moins dans le segment se passant dans le Japon des années 1950s), mais souffre d'un fâcheux air de déjà-vu et de longueurs chiantissimes pour mener le film au-delà des 1h30 (1h46 pour être exact).
Emmené par la pétillante KIMURA Yoshino (également à l'affiche de "Blindness" par ses temps cannois), l'histoire de cette terrible malédiction se résume à des longues scènes de vide, notamment pour se passer en boucle encore et encore un extrait de film (assez bien reconstitué) d'un classique du film japonais. Quelques effets chocs (accident de voiture; mères retenues prisonnières au grenier) ne sortent à peine le spectateur de son état léthargique avant que des ultimes rebondissements peu plausibles tentent d'en donner un peu à l'argent des spectateurs mécontents.
Une nouvelle fois, un réalisateur échoue lamentablement à donner vision à l'univers autrement torturé du fascinant dessinateur UMEZU Kazuo.


02 juin 2008
par Bastian Meiresonne


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