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Angel Guts 4 : Red Porno

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Ghost Dog 2.5 L’amour est en bas de l’immeuble
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L’amour est en bas de l’immeuble

Toshiharu IKEDA n’a pas de temps à perdre. Son film dure à peine plus d’une heure, ce qui implique que l’intrigue doit rapidement se mettre en place : une séance de photos dénudées suite à un quiproquo, un obsédé sexuel, une femme harcelée qui ne sait plus quoi faire pour se débarrasser de cet encombrant inconnu. Cela implique aussi des scènes de sexe softs à enchaînement soutenu : masturbation féminine et masculine saturée de lumière rouge, tentatives de viols - y compris sous la pluie – soulignant la détresse affective et la solitude des 2 personnages dans cette grande ville impersonnelle. Cela implique enfin un dénouement efficace dans la logique de ce qui a été présenté auparavant.

Vite fait donc, mais aussi plutôt pas mal fait : soumissions, désirs, frustrations, peurs et espérances sont emballées dans une mise en scène inventive qui fait la part belle aux deux acteurs principaux.

Fugace instant violent :
Hall d’un petit hôtel. La tenancière fait des reproches à un jeune homme soupçonné de harcèlement sexuel. L’image se fixe soudain, et superposée à cette image immobile, d'autres images montrent l’homme sauter sur cette femme irrespectueuse, la secouer, la déshabiller et tenter de la violer pour lui faire passer l’envie de recommencer. Une manière originale de confronter la réalité à l’imagination…

26 août 2005
par Ghost Dog


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