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Kiba, le Loup Enragé

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les avis de Cinemasie

4 critiques: 2.69/5

vos avis

19 critiques: 3.26/5

visiteurnote
2501 3
Bastian Meiresonne 2.5
Bigbonn 3.25
Cuneyt Arkin 3
hkyume 3.5
Illitch Dillinger 3.25
Izzy 3
Jérémy 3.75
jool 2.75
k-chan 3.25
OshimaGosha 4
Pikul 2.5
Samehada 4
Sauzer 3.25
Scalp 3.75
seizan 3.5
shaman 3.5
Titeuf@ 3.75
tomsifu 2.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Fast chambara

Etonnant chambara, de par la rapidité de son récit (le film dure à peine plus d'une heure !). Le héros n'est peut-être pas assez caractérisé et n'a jamais le charisme de ses prestigieux rivaux Zatoichi et Ogami Itto. C'est sans doute pour cela que la série s'est arrêtée au bout de 2 épisodes seulement. Reste une histoire banale transcendée par une belle réalisation de Gosha, usant à fond du ralenti pendant les combats, et faisant très western spaghetti (ou l'inverse).

23 février 2006
par 2501


Another lonesome samurai

GOSHA ne s'est franchement pas très foulé pour avoir l'idée de ce qui devait donner lieu à une loooongue série basé sur un même personnage dans al droite lignée de tous ces héros solitaires cartonnant à l'époque au cinéma japonais, "Zatoichi en tête". Son "Kiba" louche fortement sur pléthore d'autres personnages de même type, qui ne tiennent finalement que par la présence charismatique de leur interprète - et dans le rôle d'un digne équivalent à Shintaro KATSU, Isao Natsuyagi manque cruellement de présence à l'écran. Soit donc le personnage d'un mystérieux samouraï vagabond, qui - sous des apparences rustres - cache en fait un cœur d'or. Habile de l'épée (il possède son propre style), il se retrouve au mauvais endroit au mauvais moment et doit autant sauver sa propre peau, que celle de personnages secondaires rencontrées en route; soit - dans les deux cas - celles de jolies donzelles, dont il tombera éperdument amoureux. Les esquisses du personnage sont donc vite cernées; pas besoin de beaucoup de cours d'acteurs pour offrir une solide interprétation - seul le charisme importe. A trop vouloir imiter la référence en la matière de l'époque, Natsuyagi copie jusque le roulement d'yeux de KATSU et plombe singulièrement son personnage qui aurait mérité de préserver une "cool attitude" autrement plus poseuse. C'est que tout le scénario jusque dans sa mise en scène est ouvertement inspirée des westerns spaghettis transalpins de la même époque, auxquels GOSHA rendra un vibrant hommage avec son futur classique "Goyoku". Toutes les esquisses embryonnaires se retrouvent déjà dans cette oeuvre, mais manquant d'un véritable style unitaire et d'un scénario suffisamment fort pour pouvoir se mesurer au futur chef-d'œuvre. Quant à la pérennisation d'une éventuelle série - et outre le jeu trop maladroit de son interprète principal - il manque le nécessaire petit "plus" pour se distinguer des nombreux autres exemples de la même époque manque également l'obligatoire passé du personnage dévoilé petit à petit - il le sera dans le second épisode, mais tellement maladroitement, qu'il contribue à l'arrêt de mort de la série. L'épisode n'en demeure pas moins dénué de charme - juste trop vu par ailleurs pour pouvoir pleinement convaincre. A noter les scènes différentes dans la bande annonce cinéma de l'époque - et contenant de combats supplémentaires; méthode récurrente à l'époque, donc à ne pas manquer.

13 décembre 2005
par Bastian Meiresonne


A voir pour la réal de Gosha, point!

Toutes les autres critiques soulignent bien les défaults du film: moi je suis plutôt pour parler de ses qualités. La réalisation de Gosha est de loin l'élément le plus intéressant du film, qui parvient à le hisser dans la moyenne, alors qu'il s'agirait que d'un film plutôt médiocre.

03 décembre 2006
par Cuneyt Arkin


qui ça? Kiba!

La vision du film n’est pas déplaisante, elle est même plutôt agréable, mais il ne reste pas grand chose une fois le visionnage terminé. Faute tout d’abord à l’histoire d’une banalité exemplaire : des gentils ouvriers tellement nul en combat qu’ils n’arriveraient même pas à tuer un lombric, se font décimer par un riche méchant et sa troupe de ronins armés de katanas qui tuent, mais heureusement passe par là Kiba qui va les aider pour se faire un peu de fric et se taper la patronne aveugle si possible. Ça va pas chercher très loin, mais le film ne dure qu’une petite heure, heureusement. Mais il y a surtout un problème avec Kiba lui-même, qui manque cruellement de charisme. Il n’a pas de handicap, n’est pas défiguré et n’a pas un lourd passé (on ne sait d’ailleurs rien de lui à par qu’il pu !). Physiquement banal, limite chétif, il se distingue par sa barbe qu’il taille régulièrement avec ses ciseaux tel un ronin métrosexuel. On est donc très loin d’un zaitochi ou autres babycart. On ne retient donc pas grand-chose au final, si ce n’est les ralentis sans musique qui parsèment les différents combats et qui leurs donnent une certaine intensité. Pour les fans.

20 septembre 2007
par tomsifu


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