MAXI STATHAM SHOW - La seule prod Besson qui a son mot à dire.
Chaque scène est une repompe d'un actioner et je dis bien chaque scène mais c'est rythmé, plaisant, un bon divertissement, de la bonne action ultra sucée mais efficace et il faut pas en demander plus, surtout pas.
Jason Statham en rêvait de son film à lui où il pourrait se la jouer un maximum, c'est chose faite et c'est garanti, il fait tout ce qu'il peut pour égaler son mentor Bruce Willis sans oublier d'y ajouter sa petite touche "je suis encore plus cool et invincible que Bruce". C'est ultra creux, évidemment, Shu Ki est anecdotique, Berléand à peine mieux, mais j'ai passé un bon moment de détente, c'est déjà pas mal. Au dessus de la moyenne des autres prods du même genre et de toutes les autres prods besson. Le duo Letterier / Besson fonctionnent très bien avec Corey Yeun qui nous gratifie de chorés claires et pêchues, je vote pour.
Statham show, échauffement
Avec ce
Transporteur Luc Besson prouve une fois de plus qu'il est tout à fait possible de faire des films d'action made in France tout à fait potables. Le film ne dépasse bien sûr jamais le cadre de la recette, d'ailleurs assez classique chez Besson. Un solitaire dont le train-train est perturbé par un élément extérieur (Leon like), avec la touche asiatique bien "in" avec Hsu Chi qui fait du Hsu Chi et Corey Yuen aux scènes de frappe (Le Baiser Mortel du Dragon like), et enfin le savoir faire français des poursuites de voiture (Taxi like). Pour incarner ce transporteur un peu spécial, on donne carte blanche à Jason Statham, qui se révèle une alternative très correcte aux bourrins chers au coeur des fans d'actioners années 80. Le ton est évidemment plus tourné vers la comédie que le drame, et les personnages sont monodimensionnels. Reste que les scènes d'action sont tout à fait correctes, avec une intégration très décente de la touche HK (passage bien typique sur l'huile par exemple), alors que le savoir faire frenchy des scènes motorisés ne vient pas révolutionner le genre mais se montre également solide. Hélas le rythme pourtant élevé du film est un peu faussé par une musique pas toujours très à propos. Certaines scènes d'action sont ainsi accompagnée d'une musique qu'on qualifiera plus d'ambiance que de rythme.
Reste donc au final un actioner tout à fait regardable même si évidemment un cran en dessous des blockbusters US surbudgetisé. A voir pour Jason "back to the 80s" Statham.
Estampillé Luc Besson
Mode d’emploi pour un film d’action de base intitulé Le Transporteur, en 10 leçons:
Règle n°1 : n’utiliser que des règles comme celles-ci et ne surtout pas en dévier.
Règle n°2 : voir un maximum de films de ce genre, copier/coller les grandes lignes du scénario et ne pas hésiter à faire quelques clins d’œil à des classiques. On prendra par exemple ici la scène de The Killer où Chow Yun-Fat attrape un flingue au vol avant de tirer, ou alors la scène d'un James Bond où le couple s'enfuie d'une maison en passant par une grotte maritime.
Règle n°3 : tourner le film en France, avec des seconds rôles joués par des français, avec des techniciens français, mais en langue anglaise pour faire d’une pierre deux coups : le marché US et le marché européen.
Règle n°4 : engager un acteur costaud mais charmant, pas trop connu du grand public mais immédiatement identifiable.
Règle n°5 : affubler son personnage d’une grande sévérité et d’une grande méticulosité, le faire déblatérer des règles à longueur de temps, avant de tout faire voler en éclat avec l’arrivée d’une fille. On prendra comme modèle le film de notre producteur Luc Besson, Léon.
Règle n°6 : profiter du succès populaire de Taxi pour insérer des scènes de course-poursuite haletantes dont les spectateurs sont friands. Ne pas oublier de filmer en plans rapprochés avec un montage épileptique.
Règle n°7 : internationaliser le casting ; un anglais au premier plan, une chinoise à la mode (Shu Qi a cartonné dans Millennium Mambo) et un hong-kongais pour la réalisation et la chorégraphie des cascades (Corey Yuen) suffiront.
Règle n°8 : quelques effets de pyrotechnie à prévoir. Songer à faire exploser une maison au missile sol-sol ainsi qu’une paire de bagnoles.
Règle n°9 : on secoue le tout, on arrose d’une bande-son qui tire vers la comédie, on conclut par un happy-end avec la caméra sur grue qui s’éloigne gentiment de la scène pour préparer l’arrivée du générique final et on distribue ça sur quelques centaines de salles en France. Ca devrait le faire, on n’est ni les premiers ni les derniers à exploiter le filon…
Règle n°10: cf. Règle n°1.
simple et efficace
Pour résumer efficace c'est Jason Statham, simple c'est Shu Qi mais vu son allure on lui pardonne facilement. Uniquement de l'action sans s'embèter d'un scénario (t'as voulu me doubler, tu vas voir ce que tu vas prendre). Visuellement efficace, à voir pour la détente avec bière et pop-corn (ou bretezel pour Bush).
21 juillet 2003
par
jeffy
Pas transporté, mais bien (am)mené
ça aurait pu être tellement pire... Dans le genre, c'est bien. La première scène d'action est époustoufflante, les combats de Corey Yuen excellents, Jason Statham crédible. Evidemment, pleins de choses sont nulles (la musique, la robe façon "sac à patates" de Hsu Chi et surtout le scénario, qui se délite sur la fin) mais par rapport au pitoyable Baiser Mortel du Dragon, au moins, ici, il y a du rythme et de l'humour. Et Hsu Chi, elle est Hsu Chi, pas plus pas moins, c'est déjà ça. Le but n'était pas de faire un "film HK" mais un mix honorable. La seule erreur qu'a fait Besson est de s'être imposé comme "scénariste". Mais il se contre-fout de son histoire jusqu'à la rendre incompréhensible, sans évidemment se risquer jusqu'au chaos comme Tsui Hhark. Disons-le une fois pour toutes : Besson était un bon faiseur d'images et un découvreur d'actrices, il est devenu un producteur malin et un distributeur efficace, mais jamais il n'a pondu un scénario potable. Lâche le crayon, Luc! T'en a les moyens, rappelle-toi Jeanne d'Arc, ton seul film bien écrit... par un autre: paye-toi un scénariste!
Bah moi j'ai trouvé ça correct
20 minutes
Vingt minutes d'action de qualité dont surtout quinze à la toute fin, l'ambiance du sud de la France, Jason Statham et Shu Qi. Voilà les seuls intérêts du film. Un petit effort de caractérisation n'aurait pas été de trop. À l'inverse de la musique médiocre et racoleuse. Un produit manufacturé "Europa Corp." en somme.
Champ d'experimentation bessonien
Lors de ma tournée habituelle du samedi dans les (rares) boutiques d'occaz' de Rennes, j'ai tout de même réussi à mettre main basse sur l'ensemble de la collection Manga Distribution à 5 Euros pièce ! Emporté dans mon élan par tant de bonheur et bonté, je me suis laissé aller et ai acqueri dans la foulée "Le Transporteur" à 10 Euros. J'aime bien la pochette du DVD et si je m'étais obstinément refusé à aller le voir au cinéma, ma p'te voix pieuse et perverse intérieure m'avait tout de même toujours poussé à le regarder...
PARCE QUE je n'arrive pas à cesser de croire en LUC BESSON ! Ce réalisateur totalement barré à une époque, qui m'avait foutu une grosse claque en pleine tranche (ainsi qu'àmes parents), lorsque nous étions allés au cinéma juste après notre arrivée en France, ne sachant où nous mettions les pieds et que nous découvrions "NIKITA". Cette époque bénie, où je n'étais pas encore pervertie par mes cours d'analyses de cinéma, où je ne prêtais pas attention au moindre détail du décor et où j'étais loin de connaître tous mes futurs frissons vécus à travers tous les films d'Asie (car, il faut bien l'avouer, "Nikita" n,est au final qu'un savant rip-off de dizaines de films asiatiques...mais si savamment mixé !!!).
Besson, enfant "terrible" du cinéma, qui ne m'a dès lors plus que déçu; mais dont la démarche m'a forcé le respect. Instaurer un système marketing de production à l'américaine est tout de même un rocher lancé dans la mare cinématographique française...
Bref, j'y crois en ce bonhomme : il est loin d'être bête, il experimente et il doit s'amuser comme un petit fou à livrer des scénars' à la chaîne, à produire à tout va et à travailler avec des sacrées pointures (Jet Li, Morgan Freeman, Corey Yuen, Yue Woo-Ping etc)...bref, il se fait plaisir ! Et moi, je suis PERSUADE, qu'il accumule tous ces petits "riens", toutes ces bouses à la chaîne ("Baiser mortel du Dragon", "Wasabi" et autres "Transporteur") pour EXPERIMENTER ! Bâtir des histoires légères comme le vent autour de quelques scènes CLES; collaborer avec des gens comme Corey Yuen ou Woo-Ping pour APPRENDRE de leur manière de faire, de travailler; s'essayer à des codes de genre de films pour, un jour, sortir le FILM ULTIME du genre, son "Kill Bill" à lui (Nota Bene : 3000 cierges à mettre à l'église la plus proche, pour que Tarantino ne me déçoive pas).
Personne ne pourra me convaincre, que Besson choisit ses actuels réalisateurs pour leur savoir-faire. Qui est Chris Nohan ? et surtout : qui est Louis Leterrier ?!! (à écouter ses commentaires sur "Le Transporteur" : le prochain Kubrick...mais en mieux...mais alors, quel prétentieux petit rien du tout, celui-là; je me fache encore tout rouge, quand je repense à ses commentaires ridiculisants de bout en bout - et surtout lors du générique final...). NON ! Besson place des cobayes pour ne que mieux s'imprègner lui-même. Et en plus, il perd pas son temps et se ramasse tout plein de fric. Monstrueux ! Mais d'une stratégie immanquable ! J'adore !
Bref, le film n'a que peu d'intérêt en fin de compte.
Expérimentant le code du "tough guy" (j'aime bien Statham, même s'il manque de charisme face à un Willis ou un vin Diesel) allié au ciné HK (on pense beaucoup au ciné de Jackie Chan du début des années '90), le scénar' pouvant tenir sur le recto d'un ticket de métro accumule mollement scènes d'action repompés de bout en bout tant du ciné HK (encore une fois : du début des années '90, autant dire daté), que du film d'action US (merci les réferences à Cameron et McTiernan). Ce n'est pas trop déplaisant, un tantinet plus halétant que "Le Baiser...", mais bon...
Les effets spéciaux se repèrent assez facilement (Dieu merci, Leterrier a su couper son idée "géniale" de missile à tête chercheuse détourné par le plat argenté Franprix...), la mise en scène se veut vitaminée, mais n'en est que plus molle (bonjour les décadrages sur le levier de vitesse dès le début du film); heureusement quelques chorégraphies relèvent un peu le niveau (scène dans l'huile, dans le bus).
Shu Qi a déjà été plus mise en valeur par ailleurs, Statham a deux mimiques de plus que Jet Li au repertoire...
Le tout m'a définitivement dissuadé d'attendre quoi que ce soit de "Danny the Dog" et de damer le pion à ce tâcheron de Leterrier (sisi, écoutez ses commentaires !!!).
Je t'attends, Luc, je t'attends !!!
au moins y a de l'action
objectivement ce film est nul: le scénario bouré d'invraissemblance et de trou (c le genre de chose qui ne me dérange pas dans un film d'action mais là c'est vraiment gros, mais bon pas grave), la petite histoire d'amour ne sert à rien et n'est pas émouvante, le scénario un gros pretexte.
les plus sont les scènes d'actions sympa sans atteindre des sommets et le vieux flic qui est excellent.
je met la moyene car j'aprécie qu'un film ait le culot de se foutre de tout pour ne faire que de l'action, car ici il y en a beaucoup.
Un film sur un chauve... divertissant
Rien de nouveau sous le soleil, mais est-ce bien fait? MMMMhhhhh.... Besson, il faut avouer que sur l'ensemble de ses productions, je n'ai pas été très convaincu...
Ce transporteur sort un peu du lot. Leterrier démarre, et ça se sent, malgré tout l'apport de Corey Yuen est indéniable. Les combats, finalement pas si nombreux, sont plutôt bien troussés. Statham a tendance a trop découper ses mouvements, mais il a un charisme indéniable.
La réalisation est correcte, sans plus, Louis fera mieux ensuite. Inutile de tergiverser 107 ans, le transporteur est un petit film d'action sans prétention, qui ne fera pas date, mais permet de passer un agréable moment en mode cerveau off.
Jason Statham ou le frimeur du macadam.
Je sais ma rime n'est pas terrible mais elle est au niveau du film.
Brèf:
Les deux bons points de ce film sont qu'il comporte des scènes d'actions efficaces (apart la bagarre dans pétrole et la scène de l'autoroute qui ne font pas sérieux) et qu'il y a la présence dans la B.O de
Nate Dogg.
Sinon pour les mauvais points, je ne ferais que les citer car il n'y aurais pas assez de places pour tous bien les traiter.
Un scénario invraissemblabe, sans intérêt dont certaines scènes ne sont que du repompage (Besson est meilleurs réalisateur que scénariste), une réalisation banal et un jeu "d'acteurs" déplorable (Surtout Jason qui penche plutôt du côté grosse frime à l'Américaine que du légendaire flegme Britannique. Sans oublier la pauvre Shu Qi qui devrait tout de suite arréter ce genre de rôle s'il elle veut faire une carrière intéressante au cinéma. Car la voire faire la potiche de service, habillé en sac poubelle, qui se fait sauter sans raison par le héros macho, ça me fend le coeur lorque l'on sait le potentiel qu'elle a).
En tout cas ce n'est pas avec Jason qu'on va se réconcilier avec le gente féminine.
Divertissant quand même
Scénario sans surprise ni prétention, beaucoup de clichés ( le héros est taciturne et très macho, la fille chinoise mange des nouilles instantanées) et des dialogues très médiocres ( la principale faiblesse du film ). Le transporteur possède les ingrédients d'un série B de façon flagrante. Ce n'est pas pour autant un mauvais film car un cocktail d'action est toujours préférable à un film ennuyeux pour snobs. Parce que les combats sont spectaculairement chorégraphiés. Et finalement à cause de Shu Qi dont le rôle n'est pas si limité que ça. Elle s'exprime davantage et mieux que dans le catastrophique Millenium mambo. Et elle est très jolie, ce qui ne gâche rien.
alors la non
il ya ke du pompage dans ce film ,jai mis 0.25 juste pour la présence de hsu chi
Le même Besson pour la 3eme fois de suite 
On prend à peu pres la même formule et on recommence. Produit par Besson, qui enchaîne sur le thème "ca se passe en France y'a pas de scénario et y'a des acteurs asiatiques" depuis Wasabi, Taxi 2,3,4,5, Le Baiser Mortel Du Dragon (pas si mauvais que ça) et ce Transporter. Décidemment Besson prod. est une machine à faire du pognon - fini le temps des chefs d'oeuvres qu'étaient Léon et Nikita. Que vient faire ce bon françois Berléand ici ? Comme les autres, pour le gros chèque après les 4 journées de tournage.
et bien moi j'ai bien aimé...
supérieur au films tels que "romeo doit mourir" et "rush hour 1"
j'ai passé 1h30 sans ma casser la tete (faut dire qu'au niveau scenario c'est pas terrible) les chorégraphies de corey yuen sont tres bonnes et jason statham (que je connaisais pas du tout) livre une bonne prestation. dans le genre action pur et dur on as vu pire. moi en tout cas ca m'a plu
Mouais bof !
La première scène est sympa, comme finalement l'ensemble du film. Reste que c'est très con, mal filmé, mal interprété et on reste sur sa faim en permanence quand on a pas l'impression d'avoir déjà tout vu. Très moyen, mais pour une production Besson ca reste le haut du panier.
moins écoeurant que les autres productions besson
mais c'est quand meme n'importe quoi, quand ce n'est pas du gros pompage
L'ours et la poupée
Un film d’action pur jus fabriqué par les studios Luc BESSON, un de plus, sans doute pas le pire, mais sans âme ni saveur, avec son éternel cortège d’emprunts à tout ce qui marche, à commencer par ses propres films (voir la poursuite d’ouverture tout droit sortie des TAXI & Co).
Pas grand-chose de nouveau à signaler: une esthétique de clip, la scène d’amour entre les deux héros, totalement artificielle, pouvant facilement passer pour une publicité pour une boisson gazeuse (pourquoi pas Orangina, si présent dans le décor…), un montage syncopé finissant par agacer, une musique tonitruante et sans intérêt, des séquences de combat à la HK, un soupçon de bons sentiments, un peu d’humour bienvenu, et voilà l’histoire est bouclée en moins de 1H30.
L’interprétation assure le minimum syndical : François BERLEAND dé@!#$ sans conviction un dialogue insipide, SHU QI en adorable peste minaude puisqu’on l’a embauchée pour ça, Jason STARTHAM interprète un Transporteur revisitant LEON façon Bruce WILLIS, sa rencontre avec son joli colis pouvant se voir comme une énième variation de l’ours et de la poupée.
Un point pour le comédien qui joue le père de SHU QI, à la moumoute ahurissante. Sa fille tient sûrement tout de la mère…
Du cinoche de samedi soir pas désagréable à suivre malgré (ou à cause de) ces défauts, suffisamment dynamique pour entretenir la curiosité, mais peut-être pas jusqu’à aller voir le numéros deux quand même.
FRENCHEMENT SUPER !!!!! 
pas beaucoup de monde aime, moi je le trouve excellent !!
Mouais bof ...
Le Transporteur est moins pire que les autres films d'action produits par Besson, mais n'en demeure pas moins un film très médiocre.
L'idée de départ est sympa, mais s'avère traitée n'importe comment. Jason Statham est assez convaincant dans son rôle d'ex-militaire. Mais le scénario est indigent et s'oriente vers la comédie d'action, là où un traitement sérieux à la "Ronin" aurait été plus judicieux.
La poursuite du début, dans les rues de Nice, n'est pas sans rappeler la scène similaire dans le film de Frankenheimer. Mais, découpée n'importe comment et accompagnée par une musique atroce, elle est très loin de l'égaler. Mais vraiment très loin ...
Surviennent par la suite quelques péripéties téléphonées et quelques fusillades pas bien excitantes.
Pendant ce temps-là, Shu Qi fait ce qu'elle sait faire : sourire, minauder, et jouer les enquiquineuses de service au coeur gros comme ça.
Il faut attendre la fin du film pour avoir droit à quelques scènes d'action correctement troussées, notamment une baston à mains nues pas trop mal fichue, mais qui n'impressionnera pas quiconque a vu quelques prod' D&B des années 80.
Notons pour finir que Le Transporteur souffre des tares habituelles des prod' Besson : musique de merde et foutage de gueule des forces de l'ordre. Que deux gendarmes trouvent la mort un peu par la faute du héros ne semble pas inquiéter outre mesure le commissaire interprété par François Berléand ...
Pour conclure, je citerais ce même commissaire qui nous sort, en admirant une Mercedes : "On dit beaucoup de mal des Allemands. Mais un peuple capable de concevoir de telles voitures ne peut pas être totalement mauvais." No comment ...
Besson désespérant, 5e!
Sans Jason Statham et sa dégaine de Eastwood des hooligans, sans Hsu Chi (surtout) et tout ce qui va avec, sans deux ou trois beignes amusantes par ci par là, cette chose réalisé par un tel hémiplégique (même les fights sont filmés plan plan), mise en musique par un tel branleur subventionné (allez, ça fait 10 minutes... on change de note!), et écrit par une telle chose qui n'a rien à voir avec un scénariste, que je serai tenté d'affirmer que cette "chose" (donc) est une insulte à l'intelligence.
Allez, je l'affirme.
Bon film d'action !!
En voila une bonne surprise que ce film d'action produit par Luc Besson ( comme quoi il produit pas que des daubes : Taxi 1 et 2 , Kiss of the Dragon ) .
Au secour !...
Au secour ! voilà ce qui peut résumer ce film. Si vous fan de courses de voiture (pas moi!), de la Côte d'Azur (pas moi!), de bastons chorégraphique (pas moi!), de Luc Besson (pas moi!) et de mec baraqué torse nu (alors là pas moi!!) ce film est fait pour vous. Si vous êtes fan de Shu Qi (MOI!!!) alors là, à la rigueur, mais vous pouvais couper le son et faire avance rapide car là aussi le rôle de potiche est de mise pour belle actrice. Quand vont-ils comprendre qu'elle peut faire autre chose qu'être la bonnasse de service ! Elle est trés belle, on le sait depuis longtemps, mais elle sait aussi jouer ! si, si faites-lui confiance et vous verrez !
Monsieur Besson je ne vous salut pas !
12 décembre 2002
par
Toa87
Mouais... Pas trop mal
Sans être un chef d'oeuvre, le film divertit. Le plus gros attrait de ce film est bien évidemment la présence de la sublime shu qi... Quand est-ce que besson nous produira un film hk digne de ce nom ? Nul ne le sait...
Bon divertissement
Luc besson nous a habitué à pire
