ma note
-/5

moyenne
3.41/5

Cinq femmes autour d'Utamaro

nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 4nombre de notes: 5nombre de notes: 5nombre de notes: 0

les avis de Cinemasie

2 critiques: 3.25/5

vos avis

12 critiques: 3.67/5

visiteurnote
Anel-kun 3.5
Bastian Meiresonne 4
hkyume 4.25
Hojo 3.5
jinroh 3
k-chan 4
La girardasse 4.25
Mounir 4
Omerieux 3.5
Pikul 3.75
Samehada 3.25
zybine 3


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Expression interdite

En transposant une partie de la vie du peintre sur bois Utamaro Kitagawa (1753-1806), Mizoguchi réalise l'une de ses oeuvres les plus personnelles. Explorant une nouvelle fois le thème d'un homme totalement dévoué à l'art, il réussit également une subtile métaphore sur sa propre condition de réalisateur au sortir de la guerre. Privé de tournage, tel Utamaro interdit de peindre pendant 50 jours, Mizoguchi ne peut revenir à la réalisation qu'une fois la Seconde Guerre Mondiale terminée, mais obligé de se plier au Comité de Censure mise en place par les américains interdisant toute représentation par trop nationaliste, traditionaliste ou valeureuse du Japon. La mise en scène semble quelque peu avoir pâti des difficiles conditions de tournage au sortir de la Guerre, ainsi que des harassantes supervisions du comité de Censure américain; mais Mizoguchi traduit tout de même à merveille le magnifique scénario de son ami et proche collaborateur pendant plus de 20 ans, Yoshikata Yoda. Une rare oeuvre très personnelle, qui déploie toute sa force pour celui qui connaîtrait un brin de la vie et des oeuvres de Mizoguchi.

09 mai 2005
par Bastian Meiresonne


Excellent

Du tres bon!

08 mai 2002
par La girardasse


Ivre de femmes et de peinture

Pour ce premier film d'après guerre, Mizoguchi rend une copie assez faible (à l'aune de ses propres réussites évidemment). Les petites histoires propres à chacune des femmes ne parviennent pas vraiment à former une trame cohérente, contrairement à d'autres films choraux du Maître, et le personnage principal est comme absent (défaut accentué par le manque de charisme de l'acteur principal). M'étant assoupi, j'ai d'ailleurs eu du mal à compter cinq représentantes du beau sexe dans le casting : seules deux figures émergent réellement (le duo de femmes qui se disputent l'Adonis de service et l'épouse du peintre frâichement converti à l'art d'Utamaro). A retenir : la scène de la baignade des naïades, sublime.

05 novembre 2007
par zybine


info
actions
plus
  • liens
  • série/remake
  • box office
  • récompenses
  • répliques
  • photos
  • bande annonce
  • extrait audio