anciens éditos
éditos

Ah Limbo ouais !


Ah Limbo ouais, Ah Limbo ouais, Ah Limbo ouais, Ah Limbo ouais, Ah Limbo ouais, Ah Limbo ouais, Ah Limbo ouaaaais ! Dans la junngle, terrible juungle, le lion est mooort ce soiiiir...

Nouvelle vague


Le chapitre 2 de la première saison de Fog Hill of Five Elements arrivant fin juillet en Chine, et très certainement cette année en occident sur votre plateforme en ligne préférée, il est temps - après des années d'attente hé hé - de revenir un peu plus en détails sur cette production "indé" majeure pour l'animation chinoise, et pour les amateurs de trucs martiaux partout dans le monde. Une série déjà culte et qui en quelques épisodes s'est hissée au sommet de la montagne "animation d'action". On ne va pas parler de "génie", non, on va juste vous laisser lire le mot...

Deep Sea : deep sea king


En super avant-première (une sortie salles FR est prévue) à l'occasion du Festival International du film d'Animation d'Annecy, Astec nous livre son opinion à chaud sur Deep Sea, "blockbuster d'auteur" d'animation chinois. Gros moyens et grosse liberté pour le réalisateur TIAN Xiaopeng qui délaisse les récits héroïques "easy" pour une œuvre plus sombre et intime mais néanmoins hyper spectaculaire.

Le Chi qui tue


Toujours de l'animation, toujours chinoise, toujours martiale mais en 2D après la stop motion. Astec revient sur le film toujours invisible en France, malgré un passage au festival d'Annecy, La Légende de Hei et sur la web série dont il est tiré. L'occasion de mettre le projecteur sur un autre réalisateur de donghua (anime en mandarin) indépendant au succès populaire important.

Le pont de la rivière xia


Plus que dans le live, c'est dans l'animation qu'un certain héritage du cinéma de genre HK peut se retrouver. Alors que les grands artisans HK du cinéma d'arts martiaux et de chevalerie semblent "dévoluer" depuis la grande digestion impériale, l'industrie chinoise de l'animation voit un espace s'ouvrir pour une niche de créateurs, de nouvelles générations, aussi bien capables techniquement que fins connaisseurs de l'héritage cinématographique de l'ex. colonie. C'est là que ça se passe. Bridge, court animé wuxia en stop motion, sans paroles, d'une vingtaine de minutes, en est le meilleur exemple : un petit chef d'oeuvre d'animation et de mise en scène. Et le meilleur c'est que c'est visible en HD sur le site du studio (lien en fin de critique).