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Dog Bite Dog

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les avis de Cinemasie

10 critiques: 2.6/5

vos avis

41 critiques: 3.24/5

visiteurnote
Amaury 3.25
Antaeus 3.5
antigone 5
Bastian Meiresonne 3.25
Black_pantha 3.5
CERDAN 0.75
Chang La Rage 2.5
Chip E 2
chronofixer 3.75
Cuneyt Arkin 4.25
dll_povtyp 4
el sinior canard 3.75
Firimar 3.25
Hots@uce 3.5
Illitch Dillinger 2.75
Inoran 3.5
Izzy 5
jeff_strike 3
Jérémy 1
jinroh 2
JoHell 3.5
jool 3.5
JUKA 4.75
lesamouraifou 4
lo sam pao 3.5
Oh Dae-soo 4
omnio 1
originalGhost 4.25
Phildu62 2.75
pikoti 2
Pikul 3
rampage 3.5
Sauzer 2.75
Scalp 4
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Shalashaska 1.5
Sifu Tetsuo 1
steed 4.25
Susumu 4.75
tu0r 2.75


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Chiens de paille

Il faudrait créer une catégorie IV rien que pour "Dog BlTE Dog", pari osé et tenant techniquement la route, du réalisateur de "Love Battlefield". Aucun script, mais quelle importance. Aucun humour, et c'est tant mieux. Une romance, certes, mais si douloureuse. Le reste n'est que violence, errance, désespoir. "Dog BlTE Dog" fait passer "SPL" pour une orgie de pom-pom girls. Sam Lee et Edison Chen s'y démènent comme des sauvages. Le travail sur le son et le score en général est superbe. Le montage est sec ; les artifices manquent bien à l'appel. Ce n'était pourtant pas si compliqué.

26 septembre 2006
par Antaeus


The Duty and the Beast

Eh ben voilà! D'une moribonde industrie cinématographique se cristallisent toujours des efforts plus salutaires dans des saines tentatives de "relance"; des projets audacieux en marge du système. L'initiative (et semi-réussite) de la sage série des "First Cuts" initiée par la maison de production d'Andy Lau en est un exemple; "Dog @!#$ Dog" un autre – bien qu'à son total opposé. Comme en réaction à toutes ces versions faites sur mesure (ou édulcorées sur demande) pour le compte des chinois, voilà un film qui n'est pas prêt à circuler autrement que "sous le manteau" dans le mainland – et il n'est pas à se demander, si ce long-métrage n'est pas issu d'une certaine réaction au résultat de son dernier film, "Home sweet home", ayant laissé Cheng sur un mauvais goût d'inachevé avec son improbable histoire de folle (au lieu d'un fantôme). Du dernier, on retrouve d'ailleurs une thématique plus ou moins politisée, cette fois dépeignant – très sommairement – la difficile condition des cambodgiens. C'est d'ailleurs dans ce "raccourci dramatique" très maladroit que réside la principale maladresse du film: faire de son personnage principal enragé un fils opprimé par son père et – par extension – du malheur de toute une nation. Il aurait peut-être mieux valu faire de son protagoniste l'enfant d'une autre nation; mais "cambodgien" laisse un léger mauvais arrière-goût dans la bouche. Ce qui ne sera pas la seule "facilité": Soi Cheng souffre clairement (tout au long de sa filmographie) d'un quelconque talent dans le portrait de ses personnages. Cette distanciation est ici salutaire dans certaines scènes pour créer des personnes horriblement exempts de tout sentiment humain et capable du pire sans éprouver aucun remords; en revanche, sensibilité et émotion auraient été forcément nécessaires dans le rapport entre les policiers, dans la relation pères-fils des deux héros principaux et dans "l'amourette" des deux êtres marginalisés; on en est – malheureusement – très loin. L'ambiance désespérée et oppressante est – du coup – assez bien rendu, sachant dès le départ le combat entre les deux personnages principaux sans retour possible; mais manque cette petite étincelle, qui aurait impliqué davantage le spectateur à un stade émotionnel. Le pire restera sans doute le grotesque portrait de la relation père-fils de Sam Lee: intéressante (voire même utile pour expliquer une partie de ses motivations), elle est alourdie par des lourdauds flash-backs trop explicites et cassant le rythme au présent – pourquoi ne pas avoir préservé davantage de mystère et ayant fait passer les nécessaires explications par des mots? Non, Soi Cheng est un réalisateur "d'action": il ne sait s'exprimer mieux que par la violence. Taper, sans même chercher à discuter, en faisant de ses personnages des véritables bêtes enragés (le tueur silencieux étant d'ailleurs dépeint comme un "chien enragé" par la séquence d'ouverture, puis par le biais de la description de l'un des policiers par la suite). Et la très belle affiche minérale promet un affrontement mythique; mais là aussi, Soi Cheng passe un peu à côté de son sujet. Brouillant savamment les pistes entre bien (le flic aux méthodes douteuses) et le mal (le tueur a tout de même un semblant d'âme, notamment dans son rapport à la femme), il forge deux caractères imprévisibles, prêts à aller jusqu'à la mort. Mettant parfois ce comportement en parallèle avec celui de féroces animaux dans un environnement urbain, il ne va malheureusement pas jusqu'au bout de sa description – et notamment dans un dernier affrontement, qui aurait mérité à être plus viscéral. La "morsure" lors de leur premier affrontement ressemblait bien davantage à un combat entre deux animaux – et Djinn avait su prouver dans la mythique séquence finale de son "Perth" ce qu'est une vraie "explosion enragée" en un horrible face à face enragé entre deux êtres humains. IMAMURA savait comment transformer ses personnages en des véritables "animaux". Soi Cheng se contente de mettre efficacement en scène un pur condensé de violence (gratuite) dans des hallucinantes explosions viscérales. Un film profondément pessimiste et noir, mais qui manque d'une certaine maturité. La suite de sa carrière sera bien plus intéressante à suivre, le sachant d'ailleurs capable du pire, comme du bon. A noter l'excellente initiative des sociétés de production Art Prod et Same Way Production, qui – après "The House" – proposent d'intéressantes descentes aux tréfonds de la ville hongkongaise; la lumière de ces deux films sont des pures merveilles à l'origine d'une large part des ambiances des deux films.

21 décembre 2006
par Bastian Meiresonne


Boum boum Wouaf Wouaf.... beurk beurk

Rien à ajouter... ça se met sur la tronche du début à la fin sans comprendre pourquoi ou comment... Peu de sens après tout, je vois pas ce qu'on peut trouver à un film pareil... et Edison Chen est au sommet de son art... c'est à dire Nul. Pourquoi ce mec peut il encore jouer en tete d'affiche? Tant mieux à la rigueur si il joue dans ce navet, il ne joue pas dans un bon...

04 avril 2008
par CERDAN


Une impression de vide

C'était l'été, et il faisait chaud. J'hésitai longtemps avant de me décider à me procurer "dog bite dog", tant vanté par les internautes. Une fois l'oeuvre acquise, j'entrepris de la visionner, un verre de grenadine avec 3 glaçons en mains.

Alors que le froid de la boisson attaquait mes dents comme un couteau, le générique commença à défiler, et la noirceur des images capta mon attention. Je n'étais pas préparé à ce qui allait suivre: rien.

Bâti sur du vide, le film ne développe rien. Vaguement inspiré par "Danny the dog", et souvent préféré (on va quand même pas dire qu'un film mettant en scène un asiatique et réalisé pr un français est meilleur qu'un film Hk!), je n'y ai vu que de l'esbrouffe, la volonté d'en metre plein la vue.

Peu rythmé, pas si violent que ça, noir mais pas noirissime, "dog bite dog" met en scène des caniches, des bichons à la limite, et non des chiens d'attaque. Edison Chen fait bien trop propre sur lui et peine à véhiculer une quelconque rage, alors que Jet Li dans "Danny the dog" exprimait à merveille la haine et le desespoir. Sam Lee s'en sort bien mieux avec un personnage beaucoup plus intéressant, c'est bien lui le méchant chien du film, malgré tout il mord sans les dents.

L'action est anodine, tout juste relevée par quelques bruitages amusants. Jamais réellement percutantes, jamais inventives, les scènes d'action ne resteront pas dans les annales. Le final, décrit sur certains sites comme un festival d'eviscerations et un vrai jeu de massacre est bien gentillet et pas spécialement prenant.

La tension ne réussit jamais vraiment à monter, et la chasse à l'homme qui s'annonçait trépidante, provoque surtout l'ennui. Soi Chang se prend pour le nouveau génie de Hong Kong, mais les vrais génies sont ceux qui tournent pour leur public, pas ceux qui se font plaisir en faisant de l'esbrouffe (n'est ce pas wong kar wai?).

Alors que j'avais vraiment envie d'aimer ce film, je ne trouve rien à en tirer, même pas réellement de plaisir. En résumé: bof.

02 avril 2008
par Chang La Rage


Antipathique

Œuvre brutale, glauque et d'une noirceur jusqu'au-boutiste, Dog Bite Dog reste trop décevant pour valoir réellement le coup d'œil. Un propos intéressant sur l'impuissance de la police face à une violence humaine de plus en plus animale, hélas mal exploité par un film bancal et truffé de défauts. En premier lieu, les sous-intrigues (relations entre un père et son fils, tous deux flics; liaison amoureuse entre le personnage principal et une jeune femme paumée) sont mal amenées et ne font qu'entraver l'efficacité d'un récit dont le thème principal s'articule autour de la traque d'un dangereux tueur cambodgien (excellent Edison Chen) doté d'une agressivité peu commune, le spécimen tabassant et assassinant comme il respire, sans le moindre remord ou autre sentiment du même type. Dog Bite Dog souffre ainsi d'un scénario mal gaulé et prolixe, qui ne se concentre pas suffisamment sur ses propres points forts pour s'attarder en vain sur des développements secondaires dont on se fiche royalement. Secundo, l'esthétique du film laisse souvent à désirer: mouvements d'appareil inutilement branlants – des réminiscences du pitoyable Irréversible de Gaspard Noé ? –, photographie poseuse qui oscille entre teintes ocre et jaune pisse – seul le Dead or Alive: Final de Miike avait son pareil pour ça – et traficotages d'image à vomir. Ces effets stylistiques bidon et racoleurs ne font que tirer l'ensemble vers le bas. Enfin, la durée du métrage est bien trop excessive, la faute à ces digressions psychologiques et sentimentales inutiles ainsi qu'un dernier quart se déroulant au Cambodge qui traîne salement en longueurs. Soi Cheng avait matière à réaliser un bijou de drame ultra-violent (une violence faisant d'autant plus mal qu'elle se veut parfaitement sommaire, froide et dépourvue de complaisance, voire banalisée), mais le manque de radicalité de l'intrigue et de la mise en scène plombent cette tentative, transformant le tout en petite série B aussi opaque que maladroite et prétentieuse, au style visuel laid et épuisant, en partie rachetée par l'impressionnante composition d'Edison Chen. Guère indispensable.

10 août 2007
par Chip E


hard boiled

après avoir livré un LOVE BATTLEFIELD honorable, Soi CHENG dépasse les bornes avec ce DOG @!#$ DOG, ou la violence semble la seule raison d'être du film. l'écriture minimaliste donne lieu à des scènes violentes, mais ou l'émotion n'a pas sa place. du coup on a un peu l'impression d'un spectacle gratuitmais terriblement bien mis en scène. Soi CHENG ne connaît pas la modération, pour le meilleur et pour le pire, et ça faisait longtemps qu'on espérait même plus un film aussi sombre et violent en provenance de Hong Kong. malgré mes réticences vis à vis du manque d'empathie que peut susciter le film, DOG @!#$ DOG sera à coup sûr un des films les plus marquants de cette année 2006, sinon un des meilleurs.

06 octobre 2006
par chronofixer


Imparfait mais définitivement marquant!

Peu de films récents produisent un tel effet que Dog @!#$ Dog: sa violence extrème, sa noirceur foncière en font une sorte de pendant urbain de The blade, film vers lequel il louche de façon assez explicite à plusieurs reprises (gros plans sur les visages, contre-jours,...). Ici, pas de noirceur factice ou de violence chic à la SPL mais bien un tunnel obscur et sans espoir. Certains traits du films peuvent sembler pourtant embêtants: photo sous-exposée ou jaunâtre, Edison Chen mutique, score fait de bric et de broc,... autant de choses qui pouvaient nuire au film, mais force est de constater qu'il n'en est rien. Absurde, brutal, irraisonné et vicéralement violent, le film est porté par une énergie animale féroce qui transcende les imperfections stylistiques. Qui plus est, le film s'autorise le luxe d'éviter la pose auteurisante de bons nombres de tentatives du genre. Je parlais tout à l'heure de The blade, et la comparaison ne me semble pas exagéré: autant le film de Hark tentait de ré-insuffler une énergie à un genre agonisant, autant DBD peut sembler salvateur dans un monde du polar HK embourbé dans les sous-Infernal-Affairs (Breaking news et SPL en étant les exemples parfaits, mais on pourrait aussi intégrer les deux Election, méritoire mais vains de To). On revient ici à un style plus intuitif, plus instinctif, moins calibré, un style fait de films imparfaits, peut-être, mais portés par une poussée intérieure, une vision artistique. Bref, pour moi, Dog @!#$ Dog est de loin le meilleur film HK que j'ai vu depuis longtemps.

11 octobre 2006
par Cuneyt Arkin


Une musique originale, une belle image aux couleurs saturées, le tout plombé par un scénario débile. Déception.

13 août 2010
par Jérémy


pas mal

pas mal comme film. C'est vrai qu'il faut du temps pour vraiment rentrer dans l'ambiance.
Au début, on se dit que le titre est assez minable et n'a rien à voir au film, puis on comprend assez vite de quoi il s'agit puisqu'ils font des allusions plutôt douteuses aux chiens à bases de bruit de chiens. Oui, c'est bizarre, mais après tout, c'est une méthode pour justifier le titre du film.
Sinon, il y a vraiment pas mal de scènes de combat et une fois qu'on est dans le film, on est vraiment dedans et ça passe nickel.
Donc voilà, et j'ai particulièrement aimé l'actrice qui joue la pauvre fille maltraitée qui se fait embarquer de force dans tout un tas d'embrouilles que je ne détaillerai pas.
Donc voilà, vraiment un bon film...

03 avril 2008
par lesamouraifou


ATTENTION, TALENT!!!

Soi Cheang confirme son talent et je trouve que son cinéma devient de plus en plus personnel, on reconnait de plus en plus facilement sa patte, son style... sur DOG BITE DOG et COQ DE COMBAT (que je considère comme son meilleur film à ce jour - disons que l'histoire m'a plus touché que celle du noirissime DBD), encore plus, à mon humble avis, que sur le non moins réussi LOVE BATTLEFIELD, que j'avais découvert grâce au regretté mag KUMITE, qui, hélas, n'existe plus. À l'instar de Ringo Lam, ce mec m'épate grave ! Il est en train de construire quelque chose d'énorme je pense, tout du moins son propre univers bien à lui et avec lequel j'adhère totalement. D'ailleurs j'ai hâte de découvrir son prochain film ou même l'un de ses précédents.

06 avril 2010
par Oh Dae-soo


Wolf VS Dog

Le retour du cat.III avec un film noir , sombre et violent . Pas de viols ou de canibalisme mais de la castagne façon bete feroce , on oublie les choregraphies kung fu , là on a la violence a l'etat pur , animale. Mine de rien tout ca est totalement justifié , parceque les protagonistes vivent dans un monde violent psychiquement et ils retranscrivent ca en violence physique ( dans le camp ou sur les suspets ) .Passer la photographie et les partits pris sonore interressant , le scenar est limité mais suffisant (vengance et poursuite ). Malgrès une petite longeur sur la fin , le film vaut le cout et j'espere qu'il ouvrira la voie a d'autre production de qualité , on a pas besoin de millions pour faire un bon film , avec la rage et un peu de volonté on relance un genre.

12 décembre 2006
par rampage


Muselière indispensable

Saisissante démonstration de l'impuissance des "force de l'ordre" face à une violence qui n'est plus humaine mais purement animal. C'est malheureusement tout ce qui ressort du film, reste la beauté plastique, remarquable travail au niveau du son et de la lumiere comme l'a dit Antaeus.

04 octobre 2006
par Sauzer


Pourquoi tant de haine ?

Eh bien, ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un film aussi vide de sens. C'est quoi ce film ? Dog bite dog ?
Sincerement, je ne comprend pas l'engouement autour de ce film à part le fait qu'il possède un bon etalonnage. Le scénario est completement idiot et les personnages qui n'ont absolument rien à dire passent leur temps à abboyer comme des chiens (oui bien sur c'est original et ça fait style. Et alors ?...). Sans parler du côté bourrin dans les scènes de violence absolument insupportables. Est ce une apologie de la violence ? J'en doute. Finalement je n'ai rien d'autre à dire tant je me suis emmerdé à le visionner. Je n'ai rien ressenti non plus. Le vide total. Un comble.

16 mars 2008
par Sifu Tetsuo


Enfin... Le nouvel espoir du cinéma hk.

Voilà une bonne dizaine d'années qu'on avait pas vu un film HK aussi couillu, ambitieux, crade, risqué, qui n'a pas peur de déplaire au grand public. Les personnages absolument pas attachant restent toujours ambigus et peu sympatiques, ils sont montrés non pas comme des hommes mais comme de véritables animaux sauvages (il faut relever à ce sujet le soin tout à fait remarquable qui a été porté sur le son qui n'est pas s'en rapeller Raging Bull de Scorsese et ses sons de grognements animaliers) qui n'ont pas vivent mais survivent dans l'enfer de la jungle d'un Hong Kong complètement ravagée par la pollution et corruption. La brillante réalisation, qui nous donne l'impression de regarder autant un documentaire animalier qu'un véritable film d'horreur tant le polar annoncé est noir, combine le meilleur du cinéma asiatique : à certains moments on pense à la nervosité des plans caméra à l'épaule de Shinya Tsukamoto et d'autres fois aux mouvements de caméra et à la photographie du meilleur de Shunji Iwai (la vision des bas-fonts de Hong-Kong ne sont pas s'en rapeller celle des bas-fonts de Tokyo dans Swallotail Butterfly). La direction d'acteurs est impeccable, que se soit les premiers rôles : incroyable Edison Chen (si si!) et formidable Sam Lee, que les seconds rôles : le toujours aussi excellent et indispensable au cinéma HK Lam Suet. La musique angoissante et tragique reste une des meilleures réussites du cinéma hk de ces dernières années. Le film qui est d'une noirceur incroyable fini sur une note positive ou non selon les interprétations, qui nous dit que l'avenir appartient à la nouvelle génération, qu'il n'y a qu'eux qui peuvent changer la mauvaise santé du pays (comprendre aussi celle du cinéma HK actuelle?), alors arrêtons de cracher sur la jeunesse : vive Sam Lee, vive Edison Chen!

19 septembre 2006
par Susumu


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