La beauté de l’amour trouve d’équivalent uniquement dans la souffrance qu’il nous procure à tenter de se l’approprier.
La première chose qui saute aux yeux sur ce manga c'est la beauté des dessins. Les personnages sont très réalistes surtout
Iori et
Ishitaka. (Appart certaine couverture qui ne sont pas très réussis).
Le manga en lui même est à la hauteur du dessin de
Katsura. Les sentiments amoureux d'
Ishitaka nous sont décrit avec une telle véracité et une telle force que l'on ne peut s'empêcher d'envier le héros.
D'ailleurs le seul point de vue que l'on aura tout au long du manga est celui d'
Ishitaka. C'est sure que tout le monde aimerait bien savoir ce que pense
Iori mais le mystère sur ces réelles sentiments ne fais qu'accroître l'inaccessibilité qui la caractérise.
De plus
Katsura étant un garçon il aurait forcément faussé les sentiments de l'héroïne en les idéalisant. Donc à quand un et une mangaka qui vont s'associer?
Le seul bémol que je mettrai à cette oeuvre c'est la longueur de la première partie. Les hésitations du héros sont un peu éreintantes à la longue. Mais le scénario du manga est bien ficelé car il enchaîne sur le thème des
stars jetables de grandes consommations. Phénomène très répandu au Japon, ce sont de jeunes Lolitas propulsé au rangs de stars National en un clin d'oeil (le temps d'une chanson ou d'une publicité) et qui retombe dan l'anonymat aussi vite.
En tout cas ce manga décris parfaitement les errements amoureux de l'adolescence, qui font si mal sur l'instant présent mais qu'on ne voudrait échangé pour rien au monde.
Rien qu'à voir les tronches sur les couvertures, on se demande si on n'est pas tombé sur une encyclopédie de monstres. Ensuite, on feuillette un peu et on peut voir des écolières japonaises de 15 ans, en mini jupes (c'est l'uniforme en vigueur là-bas??) aux grosses poitrines, on voit des petits lycéens japonais en érection....Finalement, on se rend compte que c'est un manga pour ados au Q.I d'huître, barbouillés de Biactol et pleins d'hormones qui les rendent affreusement lunatiques. Réaction de vieux con: dans mon temps, à l'âge de ces mioches, je lisais pif et hercule, Placid et Muzo et Garfield.
l'oeuvre d'un auteur à son apogée (ou l'hymne à l'amour et à la femme)! Magnifique, un manga qui m'a plus ému que tout ce que j'ai pu voir en termes d'amour dans l'art.
Si l'on regarde l'oeuvre complète du dit monsieur, on perçoit sans peine que les thèmes abordés sont sensiblement les mêmes. La différence est qu'ici, les personnages sont épurés de toute science fiction ou toute autre caractère spécial qui les éloignait de notre réalité. Ces personnages, malgré les situations extraordinnaires dans lesquelles ils se retrouvaient, restaient "normaux" (à peu près... mais qu'est ce que la normalité?).
Ce qui, à la limite, leur faisait perdre de la crédibilité, les situations (bien que souvent poignantes) devenant par trop farfelues. Ici, les situations ne font pas l'objet de ce genre d'artifices, et la narration aidant, on se sent beaucoup plus proche du héros principal. J'avoue même que certaines situations (bcp même!) m'ont rappelé pas mal de souvenirs. Parlons donc des personnages... Ichitaka Seto, le héros, comme tous les autres héros de Katsura est profondément timide, instable à cause de son manque de confiance. C'est un personnage des plus sympathiques, et contrairement à ce qu'on pourrait voir vu le classique de son caractère, très interessant.
Car certains de ses actes seront vraiment imprévisibles... hehe... faudra le lire pour s'en rendre compte! C'est vraiment un personnage et un narrateur attachant, et surtout humain, ce qui fait sa force c'est sa sensibilité, ses doutes, sans que ça ne soit trop (comme c'était le cas de Iota qui lui devenait trop peu crédible, et même antipathique par moments). Puis vient Iori, la douce. Gentille, jolie, positive, c'est un personnage merveilleux. L'auteur nous donne plus de pistes qu'à Ichitaka pour la comprendre, et son charme naturel nous emporte facilement. Itsuki et Izumi sont des personnages assez proches, notamment dans leurs relations avec Ichitaka, mais Izumi a des pensées plus ambigues...
Ces deux personnages sont magnifiques, et nous montre vraiment ce que l'amour pur est, la beauté et la noblesse de leurs sentiments et de leurs actes est à frémir, ce qui en fait des personnages très forts (même si personnellement j'ai une préférence pour Itsuki, plus enfant et innocente). Mais que serait I"S sans la formidable gallerie d'amis de notre héros? Car c'est en partie ce qui fait de I"S une oeuvre puissante et le manga le plus réussi de Katsura: l'hymne à l'amitié!
Ici il ne se contente plus d'esquisser des semblants d'amitié (comme c'était le cas dans VGA, ou le sois disant meilleur ami de Iota était des plus distants et peu intéressant). Pour commencer, mon préféré... Tératani... ah làlà! C'est un vrai héros Wooien lui! Il est à mourir de rire, presque jamais sérieux, mais toujours là pour son ami, ce personnage, derrière une apparente insouciance et un detachement complet est le plus interessant, et un des plus profonds peut être.
Tous les autres personnages sont très bien présentés, loin des caricatures habituelles, alors qu'au premier abord ils sont peu creusés, mais en parler plus serait dévoiler tout ce qui fait le charme de cette oeuvre! Bref, un manga humain, realiste et drole, aux personnages attachants, parfois classiques mais jamais caricaturaux! Katsura signe son plus beau travail et nous livre quelque chose de fort et de touchant, inoubliable! A lire d'urgence, vous passerez un moment magique.
Et un hymne à l'amitie, a l'amour, aux anciennes valeurs et à la bonne humeur! Aujourd'hui, plus de deux ans après avoir lu la série, c'est avec le même plaisir (plus peut être encore) et d'émotion que j'ai relu chaque tome, et c'est avec tout autant de tristesse que j'ai tourné la dernière page du dernier volume.... 10/5, c'est ce qui conviendrait le mieux!
I''s à la folie
Est-ce qu'un manga m'a aussi marqué que ce magnifique, fabuleux I''s de Katsura??? Et bien non!!! I''s est bel et bien LE manga, celui qui vous fait vibrer, celui que se dévore, celui qui ne peut pas se faire attendre. Une fois un tome fini, on ne peut qu'enchainer les autres sous peine d'énorme frustration. Les dessins sont à la limite de la perfection, les personnages sont extrement attachants, point de vue relationnels c'est pareils. Le pauvre Seto n'en finit pas. Et les filles sont toujours aussi belles :-)
Comparé à Video Girl, je préfère I''s: disons qu'il aborde plus de point importants tels l'amitié (Tératani a beaucoup d'importance), l'homosexualité, l'infidélité, les "idols" japonaises.....
Mazakazu Katsura montre une nouvelle fois qu'il est un des plus grands dans son domaine.
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!
je vient de finir la serie
je n'ai pas put attendre
et j'ai choper le 14 et 15 en anglais
maintenant c'est finit
et je suis tout triste
c'est comme un vide
j'en veux encore......
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
ps : essayer aussi de chper a fin alternative car sinon vous aller être frustrer sur es 2 derniere page
Video girl Aï 2?
Je plaisante, bien sûr. Le scénario de "I''s" n'a rien à
voir avec cette auter oeuvre de Katsura, mais la
comparaison est sensée puisqu'il s'agit de la deuxième
série à caractère 100% sentimentale de l'auteur.
Commençons par le graphisme (c'est la première chose que
l'on regarde après tout). Il est beaucoup mieux que celui
de vdeo girl. Le trait est plus fluide et les personnages
sont moins stéréotypés. Question scénario, l'auteur a enfin
su adapter ses défauts. Il est bien connu que la faiblesse
scénaristique de Katsura est sa difficulté à suivre de
longs fils conducteurs : Il déborde d'idée et on a
l'impression qu'il se lasse de son premier scénario et va
le bâcler pour passer à un autre qu'il trouve plus
intéressant. Cela donne une certaine inégalité
scénaristique dans ses plus longues oeuvres : Video Girl Aï
mais aussi DNA² ou encore Shadow Lady. Ici il va tourner
cela à son avantage. Comme ici la situation n'a rien
d'héroïque et qu'il s'agit d'une vie lycéenne banale, on
peut se permettre de multiplier les histoires courtes et
les scénettes sans grand intérêt.
Enfin le plus important à mon goût (et si vous avez déjà
lu une ou deux de mes critiques vous le savez déjà) c'est
la psychologie des personnages. On avait beucoup dénigré
à l'époque de video girl le personnage de Moemi, jugé sans
profondeur, du type "sois belle et tais-toi". Ici pas du
tout. Oh, bien sûr le point de vue est toujours situé à
100% sur le garçon, Ichikata, mais cette fois-ci il y a
toute une galerie de personnage autour de lui, tous
plutôt réussis, réalistes et drôles. Tout ces personnages
donnent une ambiance réaliste au manga. Très agréable dans
une comédie romantique.
Enfin, la fin est une bonne fin comme Katsura sait les
faire et n'est pas décevante du tout.
Pas mal
Cette série a de l'intêret seulement pour les fille nues ou en maillots qu'on y voit. Il y a aussi l'originalité du traitement scénaristique, par exemple des moments ou l'on croit qu'il va se passer un truc parce qu'on l'a vu des millers de fois et non, il se passe quelque chose de complètement différent.
Mais ce traiment n'a pour but que de rallonger la série et ainsi vendre plus de tomes.
En plus le scénario n'est pas vraiment original puisqu'il emprunte beaucoup à Video Girl Ai, un vieux manga du même auteur.
A emprunter à un pote.
05 décembre 2001
par
Norg
itsuki ne pars pas!
j'adore ce manga, c'est clair je ne pense plus qu'a I"s depuis que j'ai lu les 6 premiers tomes.L'histoire est cool et mon petit coeur subit parfois quelque chocs assers rudes. Les dessins sont trop bien faits et c'est simple: depuis je m'essaye au dessin pour pouvoir dessiner des personnage aussi merveilleux qu'itsuki.
Itchi, laisse tomber Iori et va vers Itsuki. Voila, je donne a I"s la mention "vraiment great".
Cette série sait jouer avec notre corde sensible et pourra rappeler à certains leurs errances adolescentes. D’autres s’amuseront de l’attitude de loser du héros et du grotesque de beaucoup de situations, l’important étant que finalement tout le monde y trouve son compte.
En ce qui me concerne, je suis tombé dedans quand j'étais petit avec VGA, donc j'adore. Les dessins de Katsura sont toujours aussi magnifiques et l'histoire toujours aussi torturée (et torturante). Il est seulement dommage que Katsura ne change pas plus de type de personnages et qu'il ne s'oriente pas vers des problèmes plus sérieux que ceux du premier bisou. Cependant c'est aussi cela qui donne ce charme particulier à ses oeuvres, alors espéront seulement que la fin sera nous surprendre ...
11 novembre 2001
par
tonio
Un grand roman (attention, je parle de L'oeuvre complête jusqu'au dernier volumes)
Au début, certains pourrait croire que Katsura se répète.
Si, effectivement, cette histoire raconte les déboirs amoureux d'une jeune de 16 ans comme dans VGA, Katsura va errer dans des terrains encore plus adulte.
En effet, cette histoire va nous amener jusqu'au début de la vie d'adulte du héro. Contrairement à Yota, il ne deviendra pas dessinateur ou quelque chose du genre. Sur cette aspect, Katsura aborde un aspect des grande citées capitaliste.
Le héro est amoureux d'une copine de classe belle et talentueuse. Il ne peut lui direl. Et comme dans la vraie vie, c'est lorsqu'il se rapprochera d'elle, que d'autre filles surgiront. C'Est vrai, vous pouvez passer des années tout seul et lorsque vous rencontrez l'âme soeur, une autre fille vous avoue son amour. Arrive alors les questionnements: quel est la nature de l'Amour? C'est important cette question.... Aime-t-on parce que l'Autre nous aimes? Aime-t-on par desire sexuelle?
Katsura ici, fait dans le réaliste dur. Le héro devient un un de ces jeunes sans trop d'avenire, qui glande entre les boulots minables pendant que sa belle, elle, embarque sur la route du succès.
Encore là, est-ce possible d'être un couple alors que la position sociale est différente? Penez vous que vous pourriez sortire avec Angelina Jolie alors que vous êtes un glandeur?
Katsura pose la question parce qu'Aujourd'hui, en Amérique du Nord, au Japon, dans les grandes citées, les jeunes rêvent de succès, d'être superstar. Comme le disait Brad Pitt dans Fight Club: "on nous a fait croire que nous pourrions être tous des Rock Star". Ici Katsura identifie clairement les gens du Showbiz' comme étant le diable (voir le metteur en scène avec le chiffre 666 sur le front), le showbiz' étant un peu le Koguraku de I's.
Sur ces questionnements très sérieux, Katsura y greffe une dose d'humour, de nostalgie mais comme pour VGA, il est possible de s'identifier peu importe l'age. En effet, les parents sont comme d'habitude quasi absent, l'école pourrait être aussi bien le milieu de travail... De toute façon, l'auteur fait sortire ses personnages du milieu soclaire pour les envoyer dans la vie d'Adulte. À ce moment, le héro pourrait aussi bien avoir 20 ans que 30. Katsura focus exclusivement sur les sentiments.
La force de Katsura, outre la radiographie des sentiments amoureux et leurs confusion, c'est le dessin et la découpage technique. Ici, il est à son plus haut niveau (si il va plus loin, il sera définitivement un des plus grand auteur du médium dessiné). Avec son découpage, il construit un véritable suspense amoureux. Certaine scenes sont digne du meilleur cinéma.
Et que dire de l'écriture. Les personnages sont tous mémorable. Iori bien sur, mais aussi l'Ami homosexuel, la voisine pure et naive... Ce dernier personnage dailleurs, m'aura fait verser des larmes. Rien n'est plus émouvant que la lucidité qui au lieu de condurie au cynisme mène au don de sois.... Car la nature de l'amour n'est-il pas le don totale de sois?
La notion de l'Amour qu'a Katsura n'est pas très populaire aujourd'hui. Malgré que plusieurs lectrices s'abreuve de romance fictive, dans la vraie vie, c'est plutôt le "il faut que jee pense à moi avant tout!" qui prime. En cela, la fin hérissera plusieurs femmes en Occident. Est-ce pour cela que Katsura à dessiné une fin alternative?
Je dois avouer que je préfère cette fin alternative. Plus belle, plus réaliste, plus profonde. Parce que la fin original est le seul bémol que je pourrais mettre à cette oeuvre. Trop vite arrivée (je sais 15 volumes c'est déjà long ), trop simple, trop facile. Pour être honnête, j'ai du subire une forte déprime après avoir terminé I's. Pourquoi dans la vie, dans la vraie vie les gens n'arrivent pas aux même conclusion?
Il faut aussi parler de l'erotisme. Et je parle bien d'erotisme. De suggestion, de désire. Katsura explore le désire, le fantasme, l'attirance charnelle. Sans jamais allé trop loin, il reste dans le domaine du non vue. On se souvient de la censure dont VGA avait été l'objet, les parents Japonais trouvant que certaines illustrations étaient trop osée. VGA avait donc été retouché. Ici, pas de danger, car c'est l'imagination qui prime. Et si vous y voyiez quelque chose de mal, c'est que vous avez l'esprit mal tourné vous même.
Katsura prouve ici, à tout les détracteurs du médium dessiné venant du Japon, que le Manga peut aller au delà des "Gros Robot" et du "Boum, crac Bang" à la Dragon Ball.
Du grand art. Qui m'a touché au plus profond de mon coeur...
comme un roman l'Aurait fait. Katsura auteur? Oui sans aucun doute.
Mon dieu que c est bon!!!!!!
Je n avais pas tripé comme ca depuis Vidéo Girl Aï (VGA pour les intimes),j'adore absolument tout dans ce manga et il n'y a rien a ajouter si ce n est :ALLEZ L'ACHETER!!!!!
OH IORI,IORI!!! POURQUOI ES TU IORI...?
C'est du Katsura qui ressemble à s'y méprendre a Video Girl Ai (dites le moi si je me trompe! ^_^) mais on y retourne volontier quand meme!!!
ON se laisse vraiment reprendre au jeu de ce garcon qui s'évertue a essayer de comprendre le coeur des filles sans pour autant y parvenir, et de quiproquos en situations cocasses, il essaie de s'y faire.
Pour ma part, je suis tellement dedans que j'en viens même à m'enerver tout seul sur le manga; je m'imagine meme, à la facon Video Girl, entrer dans le manga pour réveiller un peu ce cornichon de Seto avec une bon coup de pied bien placé.
La force de ce manga, est que l'on y adhère totalement et qu'on réagis aux évènements qui se passent naturellement, sans s'en rendre compte, et on se prendrait meme a verser une petite larme de temps en temps...
Katsura a une sorte de genie pour retranscrire les peurs, les problèmes et les interrogations de ces jeunes japonais serait-ce autobiographique?). en effet,ce qui se passe n'est pas très loin de la réalité. Au japon, l'amour reste mine de rien un sujet tabou, et il est encore très mal vu de s'afficher dans la rue avec son/sa petit(e) ami(e). En fait, c'est ce probleme qui empêche les choses d'être plus faciles entre Seto et Iori...
Le titre du manga est aussi très évocateur. En phonétique, on peut le traduire par "oeil", et le dessin du titre sur la jaquette represente aussi cet organe, comme pour porter un regard sur la société japonaise...
Graphiquement, Katsura est vraiment à l'apogée de son art ( il a vraiment du talent pour dessiner certaines parties de l'anatomie feminine!) car c'est trop beau et on voudrait bien cotoyer Iori ou Itsuki( hein bande de petits coquins!). Il n'y a rien de trop dans le graphisme, c'est clair et précis.
I's fait partie de ces manga comme "Akira" ou "Video girl Ai" que quelqu'un qui se dit fan de manga est forcé de posseder... Ceux qui ne l'on pas encore savent ce qui leur reste à faire!!!
Hunterx
Iori, je t'aime...
Mais au fond, ne serait-ce pas Itsuki que j'aime au plus profond de mon coeur??AHH, mon dieu, quel mystere...et ça continue pendant des tomes et des tomes...PASSIONNANT !
Encore !... euh... ben c'est pas mal en fait...
Après des mangas comme Wing-man; DNA2; Shadow Lady; Zetman; Katsura reprend un regisre de triangles amoureux entre adolescents... mais dans un monde normal. Pas de super pouvoirs. Pas des science-fiction. Juste les mésaventures amoureuses d'un jeune lycéen aux prises avec de superbes créatures ( mignonnes; gentilles; douces; est... comme d'hab' ). Alors; quoi d'intéressant dans ce nouveau manga !
Eh bien vu de près les graphismes frôlent la perfection;