ma note
-/5

moyenne
3.08/5

Lifeline

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les avis de Cinemasie

11 critiques: 3.09/5

vos avis

36 critiques: 3.05/5



Alain 3
Anel 3.5
Arno Ching-wan 3.25 45mn de présentation, 45mn de démo ha-llu-ci-nante !!
François 2.5 Un correct soap d'action avec un gros casting mais qui reste lent à démarrer
Ghost Dog 2.75 Du bon spectacle mais un peu limité.
jeffy 3.25 Inégal mais bien rattrappé sur le final
Junta 3.5 Les scènes de feu sont très réalistes mais l’histoire est un peu trop romancée.
MLF 3.25
Ordell Robbie 2 Entre action correcte mais pas mémorable et mauvais téléfilm
Ryoga 3.5
classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement


Un correct soap d'action avec un gros casting mais qui reste lent à démarrer

J'avoue avoir été un peu déçu par Lifeline. J'en avais entendu beaucoup de bien. Le problème est que le film est assez atypique des films de pompiers occidentaux. Tout le début du film est assez lent, avec de la comédie. J'ai découvert Lau Ching-Wan dans ce film, et je l'ai retrouvé ensuite dans presque tous les rôles possibles et imaginables. C'est un excellent acteur, assez charismatique avec sa tête de dur.

La deuxième partie du film est beaucoup tournée vers l'action. Les moyens n'étant pas les mêmes que dans une grosse production américaine, il y a peu d'effets spéciaux, et ce sont de vrais flammes que les pompiers affrontent. Certains scènes sont en conséquence très impressionnantes. Mais la fin est un peu trop sombre à mon avis.

Le film est agréable à regarder, mais sans plus. Nous étions très fatigués ce soir là, donc il faudrait peut-être que je le revois avant d'être aussi catégorique.

22 octobre 2000
par François




Du bon spectacle mais un peu limité.

Il y a du bon et même du très bon dans ce film clairement coupé en 2 parties: dans la première, l'intrigue se met en place, les personnages sont définis assez grossièrement mais sans que ça se voit de trop, et Lau Ching Wan, véritable gueule du cinéma de Hong-Kong, est mis en valeur vu que c'est lui le héros. Au fur et à mesure des interventions de tous genres que subissent ces pompiers (boulot difficile et parfois vain mais humainement riche), les tensions se créent, les liens se nouent entre les différents protagonistes sur un rythme correct. On n'échappe pas à la rencontre amoureuse fleur bleue, aux chefs tyranniques et aux remises en question, mais ça n'est pas pour nous déplaire.

Les 3 derniers quarts d'heure sont consacrés uniquement à un spectaculaire incendie que se doivent d'éteindre toutes les équipes de la ville. Et là je suis un peu plus sceptique: d'un côté ces images de feu fou qui se propage à la vitesse de la lumière en faisant exploser au passage des produits chimiques sont vraiment impressionnantes, mais de l'autre côté un choix de mise en scène plus que discutable fait s'étirer l'action à coups de ralentis et de plans assez longs. Le budget moyen n'arrange pas les choses, et on est plutôt content que ça se termine... Il est vrai également qu'il n'y a pas d'adversaires, pas de méchants dans ce film, qui se borne juste à relater de manière décuplée le courage et la conscience professionnelle des hommes en rouge. Propos forcément limité donc, et peu enthousiasment. Une fois n'est pas coutûme, je préfère la version US de Ron Howard, Backdraft.



18 avril 2001
par Ghost Dog




Inégal mais bien rattrappé sur le final

Efficacité voudrait être le maître mot du film, Johnnie To mise sur le réalisme dans les scènes d'action qui sont la principale raison de s'intéresser au film mais il pêche dans le traitement des personnages. Le pari de limiter au minimum le vécu personnel en ne retenant que ce qui pouvait s'inscrire en relation avec leur activité professionnelle, rend ceux-ci distants alors que tout le final va miser sur l'implication du spectateur vis-à-vis d'un sauvetage désespéré. Cette contradiction met un peu le film en défaut, heureusement la longue scène finale à elle seule justifie amplement la vision du film même si celui-ci reste en moyenne inférieur à un Libera Me par exemple.

02 novembre 2005
par jeffy


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