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The Ramen Girl
les avis de Cinemasie
1 critiques: 3.5/5
vos avis
1 critiques: 2.5/5
Encore un peu trop pleurnichard quand même
Si on enlève le fait que Britanny Murphy est ici un peu trop tête à claque, à pleurer dans les brancards à la moindre déconvenu, Ramen Girl est un bon petit film sympathique sur une fille qui se découvre une nouvelle passion et qui va y mettre tout son coeur pour y arriver, ne voulant pas encore abandonner. Mais cette quète de stabilité est sans cesse mise à l'épreuve, entre son patron qui lui en fait voir de toutes les couleurs, et ses nouvelles relations qui ne lui facilitent pas la tache. On notera, outre Britanny Murphy qui est assez souvent exaspérante, des seconds rôles impeccable, et particulièrement un Nishida Toshiyuki de haut vol qui pique la vedette à l'actrice principale. La réalisation n'a rien de particulier, et la musique est correct, sans être envahissante. Au final, un bonne petite comédie qui mérite qu'on s'y attarde un peu.
Pauvre nouille
Toute petite comédie cross-over entre l'Asie et l'Occident avec la tête-à-claques Brittany Murphy (pourtant bonne jadis dans Clueless, 8Mile ou Sin City) en touriste ricaine paumée, qui va découvrir les joies d'un bon bol de nouilles au lieu des sempiternels burgers gras. Evidemment, elle a le coup de foudre pour ce repas garanti 100 % sans gluten et comme elle n'a rien d'autre à faire (et sera payée pour), elle reste apprendre les arts du bon "slurping" des fameuses nouilles.
C'est attendu et convenu, mais finalement traité avec plus de respect, manière et d'intelligence, que l'on aurait pu le craindre. Le réal R.A. Ackerman est un réalisateur érudit, fan du pays di soleil levant et qui a même le bon goût de caster l'extraordinaire Nishida Toshiyuki dans le rôle du sifu des nouilles et Tsutomu Yamazaki, vedette de l'extraordinaire "Tampopo" dans un rôle secondaire.
A part cela ? Pas grand-chose ni à sauver, ni à retenir, sauf que le film aura donné envie de s'enfiler un bon bol de ramen lors d'un prochain voyage…au Japon et / aux Pyramides à Paris. En attendant, je m'enfilerai quelques plats indonésiens plus consistants que cette saynète inoffensive.