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I Wish You Were Here

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Arno Ching-wan 3 Guyver contre les zomblards
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Guyver contre les zomblards

I wish you were here pioche beaucoup chez les autres tout en réussissant à être un produit assez plaisant. On se retrouve dans un monde futuriste dévasté par un virus, une maladie qui transforme les victimes en zombis mutants féroces. Des surhommes boostés avec des nanomachines sont utilisés pour contrer la menace, aidés par des méchas guidés à distance par d'autres simples hommes. Ajoutons à cela une super arme en possession d’une jeune fille ne se déclenchant que lorsque l’enfant est vraiment touchée par les évènements - et non lorsqu’on lui ordonne - c'est-à-dire lorsque son homme, le héros, est menacé. Ca nous rappelle dans l'ordre: Resident Evil, Guyver, plein de séries de mechas puis, pour finir, Neon Genesis Evangelion.

On est mal BobCe mélange passe plutôt bien avec son scénario qui, sur seulement 4 épisodes de 30 minutes chacun, prend des risques plutôt que de s’en tenir au filoguidage « entertainment ». Sans en dévoiler la teneur, quelques rebondissements surprennent, des personnages meurent dans des conditions bien sales, l’évolution du virus semble inéluctable et la toute fin du 4ème épisode est très ouverte sans être positive pour autant. Cela permet à ce divertissement d’être suffisamment accrocheur jusqu’à la fin, aidé qu’il est par la partition notable de KAWAI Kenji. Sur l’interview disponible sur le Z2 Dybex, le compositeur dit avoir brodé autour du cahier des charges « Rock progressif » - "I wish you were here" est d'ailleurs le titre d'une chanson de Pink Floyd -, chose qui l’avait semble t’il un brin déstabilisé au début. Il s’en sort avec les honneurs, du « rock de scène » nous est en effet balancé pendant les combats, pour le reste il nous offre en plus quelques petites mélodies d’attente bien dans le ton de celles des jeux Resident Evil, sans oublier de nous exciter avec du rock plus Carpenterien période Vampires/Ghost of Mars, très efficace pour dynamiser certaines tensions. Bref, malgré des inserts 3D plus que douteux et quelques trous dans le scénario, ce DA bénéficie d’une ambiance toute particulière qui change un peu du tout venant. Rafraîchissant comme on dit.



10 juillet 2006
par Arno Ching-wan


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