... et je ne voudrais pas être celui qui va se faire botter le cul. L'inspecteur Kang, c'est bien celui de la série Public Enemy, qui n'aime pas vraiment suivre le code de la police avec trop de fidélité. Pourtant ce troisième opus ne s'appellera pas Public Enemy 3, en tout cas pas en VO, et portera le titre de Kang Cheol-Jung, qui est tout simplement le nom du flic incarné par Seol Gyeong-Gu. D'après Kang Wu-Seok, le réalisateur, cela a deux raisons : tout d'abord, le film se concentrera beaucoup plus sur la dure personnalité du policier maintenant légendaire (et donc moins sur l'enquête j'imagine), et ensuite l'histoire ne se déroulera pas après le 2, mais entre les deux numéros précédents.
La première grosse bonne nouvelle est l'arrivée dans cet opus de Jeong Jae-Yeong, mais également de Lim Won-Hee, qui s'ajouteront au duo déjà existant de Seol Gyeong-Gu et Kang Shin-Il. Et la deuxième grosse bonne nouvelle est que c'est Jang Jin qui s'attèlera à l'écriture du scénario ; et quand on voit ce que donne les films écrit et/ou réalisés par Jang Jin, ça en donne l'eau à la bouche. Par contre, le tournage n'est pas avant l'automne.
[Source : Film2.0]
Tout le monde maintenant connait au moins un peu Son Ye-Jin et son petit visage d'ange complètement refait, son sourire enjôleur et ses yeux doux. Alors certains ont décidé de casser cette image et de la mettre dans la peau d'une femme fatale ; plus précisément une voleuse de renommée internationale, du joli nom de Rose Baek (Baek Jangmi dans la V.O.), dans Open city, film d'action réalisé par Lee Sang-Gi, un petit nouveau dont la carrière cinématographique tient sur une ligne (scénariste de Fighter in the Wind). Donc il y aura des combats sanglants, des Yakusa (sisi), de l'érotisme mortel, et plein de choses jouissives dans lesquelles on n'imagine pas vraiment Son Ye-Jin. Et c'est pour ça que c'est intéressant.
En face d'elle, Kim Myung-Min jouera le rôle de l'inspecteur fier de son tableau de chasse parfait, mais dont l'enfance douloureuse l'a mis à l'écart de la société. Après vous imaginez la suite : alors qu'une poursuite s'installe entre les deux personnages, ils finissent par être confronté à un amour impossible, qui finira sans doute dans un bain de sang. Bref, le tournage doit débuter fin juillet, pour une sortie prévue en décembre 2007.
[Source : Film2.0]
... Forever ! Telle est la « tagline » de la série The five killers, en espérant qu’elle évite d’être carrément un scénario à la Afro samurai...
Eric Calderon, producteur chez GDH, branche internationale de Gonzo, parle sur son site personnel de ce « The five killers », une série en 12 épisodes ayant pour thème, euh… bah cinq tueurs donc. La bande-annonce, dynamique, nous explique très bien tout ça. Tomohiro Hirata (Trinity Blood) réalise.
A noter : en musique de fond, le trailer nous ressort le très fun Ready Steady Go de Paul Oakenfold, déjà entendu lors de la scène de la boîte de nuit de Collateral, ainsi que pendant la poursuite en bagnoles de La mémoire dans la peau.
Sources: Twitchfilm, ANN
Une ville d'amour et d'espoir
Après ses études de droit, OSHIMA travaille comme assistant réalisateur à la
Shochiku en 1954. UNE VILLE D’AMOUR ET D’ESPOIR est l’un de ses premiers
films dans cette structure : il développe une variation sur la délinquance juvénile
– sujet en vogue à l’époque que OSHIMA abordera à nouveau avec CONTES
CRUELS DE LA JEUNESSE. Ce film surprend les dirigeants du studio par son
point de vue critique sur la société japonaise industrialisée en plein essor.
Contes cruels de la jeunesse
Ce film sur la délinquance est un scénario original de OSHIMA et son premier
grand succès. C’est « l’histoire de jeunes qui ne parviennent à manifester leur
colère que de façon déviée. En montrant la tragédie de ces jeunes, j’ai exprimé
ma propre colère devant la situation où se débat la jeunesse actuelle. » N.
OSHIMA.
L' Enterrement du soleil
Ce troisième film confirme OSHIMA comme un cinéaste contestataire. Il
réussit à imposer son point de vue personnel dans le système des studios en
s’attachant à des personnages qui n’ont aucune chance. Il dénonce
l’hypocrisie du cinéma humaniste de gauche et détourne la convention des
genres pour exprimer un pessimisme créatif.
Un évènement à ne surtout pas manquer pour celles et ceux désireux de redécouvrir ce génial cinéaste.
Adresse : 50, rue Rambuteau 75003 Paris - Métro Rambuteau / Les Halles
©Source : Carlotta
Xavier Chanoine
Le site officiel de l'anime en 3D Vexille propose de visionner les 10 premières minutes du film. En clair : il s’agit de la scène bourrin d’introduction. Même si on est toujours en droit de trouver le dessin des visages discutable, tout le travail effectué sur: la mise en scène, le son et le mecha design assure franchement un max. Ca sent l'action SF réussie et Appleseed 2 a du soucis à se faire.
Une bande-annonce originale de Shigurui, série chambaresque d’origine madhousienne, est disponible en ligne (la Madhousie est un peu plus à l’est de chez nous). Originale parce qu'elle met en avant des éléments non-violents, contrairement à ce que devrait être réellement la série, et originale aussi parce que d’un classicisme tel qu’elle annonce une œuvre réaliste un tant soit peu posée. A suivre de très très près...
Source : Dailymotion.com
Une nouvelle bande-annonce de Flash Point, actionner du duo « Y2 » Yip/Yen est disponible sur le site officiel du film. A noter : on y trouve également une vidéo d'entraînements particulièrement impressionnants...
A la vue de la boucherie qui s'annonce, si comme le groupe "U2" les "Y2" se mettent à nous pondre un jour un album, ils pourront sans peine l’appeler « War » hein...
Bande-annonce (cliquez sur « vidéo » et… oh et puis démerdez-vous…)
Source : Twitchfilm.net
Le numéro spécial de juillet-août 2007 de Positif consacre un long dossier à trois grands maîtres du cinéma japonais de l'âge d'or des années 50: MIZOGUCHI Kenji, NARUSE Mikio et OZU Yasujiro. Ce numéro qui met en couverture Quand une femme monte l'escalier comporte notamment des textes de YOSHIDA Kiju et du récemment décédé Edward YANG.
Hairy tale est une pub pour un shampoing, faite par le Character designer et Directeur de l’animation sur la série Samurai Champloo. Ca ne s’invente pas. Il s’appelle Kazuto Nakazawa, et la musique est signée Yoshihiro Ike. Ce compositeur a effectué un boulot « efficace » sur les Blood The last vampire et Karas. Entendez par là : c’est du maous bourrin, post Hans Zimmer, mais made in là-bas. Ce qui est un peu réducteur, convenons en, d’autant que là nous sommes plus dans une ambiance zen à tendance « Sentez vous votre flux de vie parcourir votre corps, depuis vos orteils jusqu’à vos orei... euh, non, jusqu’à vos cheveux ? Mmh ?…».
Magnifique haiku animé, « Hairy Tale » nous présente des cheveux longs, beaux et souples qui changent des coupes négligées des fantômes asiatiques hantant nombre de films d’horreur sans saveur et sans savon. Savourons donc ce splendide (très) court métrage, qui non content de nous shooter la rétine avec une splendeur visuelle – et narrative - de 60 secondes, nous présente surtout des artistes à suivre de très près. Si toutes les pubs pouvaient avoir cette gueule là…
Kazuto Nakazawa naît à Niigata le 04 mars 1968. Il obtient son diplôme d'animateur à l'école "Toei Animation", rejoint ensuite les studios "Magic Bus", et travaille actuellement aux studios "Manglobe". Ses travaux: Kill Bill: Vol. 1 (2003, directeur de l'animation, 2003), la série TV Samurai Champloo (2004, character design, directeur de l'animation), le vidéo clip pour Linkin Park Breaking the Habit (2004, un award MTV), le film commercial Kirin Lemon Black: Monster Blacks Fights Back (Meilleur film commercial au 11ème Festival d’Animation de Hollande), et le segment "Moon drive" du film omnibus Genius Party des "Studios 4°C".
Source : productionig.com
La prochaine série automnale des studios Production IG, Ghost Hound, dont au sujet d’laquelle on vous a déjà causé là, se voit gratifiée d’un site rien que pour elle agrémenté d'une bande-annonce. On ne voit pas grand chose: une paire d’yeux clignote et une musique fait « boum-boum » pendant que des oiseaux volent au loin, mais le character design nous y est pleinement dévoilé. Et, en asie, qui dit « ghost » dit « fille aux cheveux gras qui tombent », un passage "obligé" qui ne sera apparemment pas évité... Simple facilité pour ne pas avoir à dessiner un visage ? Meuh non, c’est facile à faire les grands yeux, tu fais un rond et puis tu… Bon, bref, à Cinemasie on a la pêche pour aller à la pêche aux infos, on se dépêche et veuillez trouver ci-dessous l’objet de la dépêche (tu veux une pêche) ?
Bande annonce haute résolution (9.54Mb) Bande annonce basse résolution (2.96Mb)
Source: Animenewsnetwork.com