dépêches

8/10/2008 18:49

Le Festival Shadows revient !

Deux ans après sa première édition, le Festival Shadows revient à Paris avec une programmation en 4 temps : un Focus sur l’oeuvre de deux réalisateurs, Ai Xiaoming et Hu Jie ; une Carte blanche à Yunfest, festival de documentaire chinois créé à Kunming en 2003 ; un autre Focus sur Sun Xun, artiste plasticien et réalisateur de films d’animation ; et pour finir, une sélection d’oeuvres – fiction, documentaire, animation et vidéo – produites entre 2006 et 2008. De quoi faire le point sur les deux années qui se sont écoulées depuis la création du festival et de prendre le pouls du cinéma indépendant chinois sous toutes ses formes.

La réalité que recouvre le terme de « cinéma indépendant chinois » n’est pas figée ; elle évolue à mesure que des auteurs apparaissent et que des structures cinématographiques autonomes – des maisons de production, des diffuseurs, des médias et des festivals – s’appliquent à promouvoir un cinéma « différent ». Voilà pourquoi il nous semblait important de donner carte blanche à Yunfest pour une sélection de douze films qui montrent la ligne éditoriale de ce grand festival de documentaire du Yunnan et l’évolution de sa programmation sur six ans.

Le Focus sur Ai Xiaoming et Hu Jie s’inscrit en contrepoint de cette Carte blanche. Ces deux réalisateurs de documentaires qui collaborent depuis 2004, ont tourné ensemble ou séparément des films dont le style « engagé » les distingue de la plupart de leurs pairs.

Cinq de leurs documentaires les plus représentatifs sont proposés ici dans un programme qui met en parallèle les deux temporalités sur lesquelles ils travaillent : l’événement au présent pour les films d’Ai Xiaoming ; le passé récent dans le cas de Hu Jie.

La sélection 2006-2008 témoigne d’un renouvellement des genres avec notamment l’arrivée d’auteurs qui mêlent fantastique et documentaire dans des oeuvres vidéo ou de fiction. On pourra également suivre dans ce programme, l’évolution du travail de réalisateurs repérés dès l’édition 2006 de Shadows.

Tel est le cas pour Sun Xun, fondateur du Pi Animation Studio, dont deux court-métrages avaient été montrés à la première édition du festival. Cette année, nous lui consacrons un Focus qui présente une dizaine d’animations datées de 2004 à 2008.

FESTIVAL SHADOWS est organisé par Arsinica.
www.festivalshadows.info
shadows@festivalshadows.info
( Séance — Réduit 4 € - Plein 5 €
Pass 10 séances — Réduit 20 € - Plein 25 €
Pass Festival — Réduit 30 € - Plein 40 € )

Aurélien

7/10/2008 19:16

Choi Min-Sik à Lyon

L'acteur coréen Choi Min-Sik sera présent à Lyon du 7 au 9 novembre 2008 dans le cadre d'un hommage qui lui sera rendu à l'occasion du 14ème Festival Cinémas et Cultures d'Asie. Il sera à la fois l'invité d'honneur et le parrain du festival.

Voici l'intégralité du communiqué de presse :

"Comme chaque mois de novembre depuis 14 ans, Lyon sera l'espace de quelques jours le rendez-vous incontournable de tous les passionnés et curieux du continent asiatique.

La sélection cinématographique comptera plus de 60 courts et longs métrages en provenance de 10 pays, dont une grande partie seront en compétition pour un prix décerné par le public, par la presse ou par un jury de professionnels.

En parallèle, « Etoiles et Toiles d'Asie » invitera aussi à un véritable parcours artistique pavé d'expositions (photos, peintures, affiches de cinéma.), d'initiations à différents arts asiatiques (cuisine, massage, calligraphie,...), et de performances dansées ou musicales.
 

Le héros de Old Boy à l'honneur

Le festival accueillera cette année un parrain prestigieux en la personne de Choi Min-sik, l'acteur coréen le plus connu dans le monde grâce à sa remarquable interprétation d'un père de famille séquestré, sans savoir par qui ni pourquoi, dans Old boy de Park Chan-wook (Grand Prix de Cannes 2004).  Choi Min-sik sera à Lyon du 7 au 9 novembre pour nous présenter cinq de ses plus grands films : Crying Fist, Failan, Ivre de femmes & de peinture, Notre héros défiguré et Old Boy.

En même temps, un hommage sera rendu à Indiestory, seul distributeur de films indépendants en Corée, avec la projection de Written, Hello Stranger, If you were me : Anima Vision 2, ainsi que de 10 courts-métrages.
 

Mumbai Meri Jaan en première mondiale

Le 14e Festival Cimémas et Cultures d'Asie célèbrera également l'Inde, premier producteur mondial de films, avec une table ronde et un panorama de 13 films en provenance de  « Bollywood » (contraction de Bombay et de Hollywood).

Om shanti om de Farah Khan, le film de l'année en Inde, sera notamment projeté lors de la soirée d'inauguration. Les spectateurs pourront également découvrir en première mondiale Mumbai Meri Jaan de Nishikant Kamat, témoignage bouleversant des attentats qui ont frappé Bombay en juillet 2006.

A cette occasion, l'association Asiexpo lancera le troisième ouvrage de la collection Asian Connection : « Le cinéma indien ».

Enfin, pour les fans de manga, d'animation et de culture japonaise, le festival se prolongera par la 10e Japan Touch Convention les 22 et 23 novembre au Centre Culturel de Villeurbanne, avec ses stands, projections et animations.".

Plus d'infos dès le 11 octobre sur le site asiexpo.com.

Xavier Chanoine

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7/10/2008 1:48

Décès de Ogata Ken

Une des légendes du cinéma japonais s'est éteinte dimanche dernier, l'acteur OGATA Ken est décédé à l'âge de 71 ans. Il débuta a la fin des années 60 chez Masumura Yasuzo ou encore Inagaki Hiroshi aux côtés de Mifune Toshiro avant d'éclater dans le dernier film de Misumi Kenji, Les Derniers samouraïs, chez Nomura Yoshitaro dans l'excellent L'été du démon et de confirmer dans La Vengeance est à moi et Eijanaika de Imamura Shohei. Il tourna régulièrement chez Gosha Hideo durant les années 80, notamment dans le sublime Portrait d'un criminel, l'un des plus grands films de son auteur. Il interpréta en 1985 le rôle de Mishima Yukio dans le film éponyme de Paul Schrader, nominé pour la Palme d'or. A noter qu'il participera au dernier film de la saga Zatoichi réalisé par Katsu Shintaro et finira sa carrière en apparaissant dans le dernier film de la trilogie du samouraï de Yamada Yoji, Love and Honor, puis chez Okuda Eiji dans le touchant A Long Walk avant de tirer sa révérence dans le dernier film de Motoki Katsuhide sorti au Japon en juillet dernier.

Source : Wildside
Photo : dvdtoile

Xavier Chanoine

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6/10/2008 21:04

The SARFT Incident ?

Le ciné HK post-rétrocession, alors euh…

SCRITCH SCRATCH COUIK...

- Consonne.
- S.
- Voyelle.
- A.
- Consonne.
- R.
- Voyelle.
- F.
- Mais c’est pas une voyelle ça qu’est-ce que c’est que ce f… BLAM ! Aaaaïïe mon genou ! ! Hum… Alors, euh… consonne.
- T.

Tic-tac-tic-tac-tic…

- Z’auriez pas un peu de pommade ?
- Chut.

Tic-tac-tic-tac-tic-tac… TING !

- 3 lettres.
- Pas mieux.
- "Tas". Comme un tas de m… euh, un tas d’écrous, de vis, un tas de chose quoi…
- Bravoo ! Mais on pouvait faire mieux, 5 lettres, avec SARFT ! !
- Avec quoi ?
- Vous ne connaissez pas le SARFT ?
- Ben non je… BLAM ! (potch par terre)
- Vous devriez.

Chers amis occidentaux, laissez moi me présenter : Lau Ran Ro, Maïchco pour les intimes, présentateur des chiffres et des lettres au pays du soleil qui n’ose pas se lever de peur de se prendre une balle dans le citron. Une fois il se présenta à la Chine, voulu préciser qu’il était du genre timide, et à peine prononça t’il  « je suis ti… » qu’un missile vint s’exploser sur sa joue gauche. Le soleil s’en retourna illico presto pleurer derrière sa colline. Nos formidables pontes chinois avaient alors pensé – à tort, mais ils en ont le droit - que le soleil était sur le point d’annoncer qu’il était tibétain.

Le SARFT est le glorieux – gloire à la Chine – « State Administration of Radio, Film, and Television », l’équivalent chinois de votre beaucoup trop permissif CSA : Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Alors oui, vous allez nous dire que « SARFT » ne sonne pas très joli à l’oreille, que ça ne vaut pas un bel « Edwige » et rappelle plutôt un vilain mot comme « Sras », de sinistre mémoire. Certes, mais il n’empêche : gloire à la Chine. SARFT reste, Edwige se taille, on sauvegarde les apparences : le sras et les paillettes. Je rends l'antenne à Cinemasie.

SCRITCH SCRATCH COUIK…

 Alors qu’avons-nous depuis 1997 : de l’internationalisation sympa mais passe-partout (Infernal Affairs), du faux rebelle incompris (Johnnie To et son Election 2), tout plein de comédies usuelles inoffensives, tout plein de films remplis de figurants, de faste, d’armures, de batailles épiques et colégrame, armada de froufrous masquant difficilement du néant thématique gênant ; et du Samo Hung et du Donnie Yen, de formidables artistes martiaux ancrés dans le folklore, des showmen magnifiques mais pas vraiment du genre rebelles (revoir le Blade of Fury de Hung pour s'en convaincre). Si le film de Donnie Yen... pardon, si le film de Wilson Yip : Ip Man - et non Yip Man donc - est très attendu, avec comme pitch une bio romancée du maître de Bruce Lee (tout le monde le sait mais je le réécris là : WKW aurait parait-il le même projet), et si l’excellent site officiel nous présente un teaser pô mal du tout et un bout de making of flash éclair qui l'est tout autant, ça n’en reste pas moins du cultivage flagrant de patrimoine local, donc de l’iconisation caractérisée. Ceci restant un a priori, car les images donnent franchement la bave aux lèvres.

Le SARFT ? Ah, oui, le SARFT. Eh bien cela fait un bout de temps maintenant que je cherche à voir la bande-annonce du prochain Derek Yee, The Shinjuku Incident, avec Jackie Chan, repoussé à mars 2009 (pour l’instant) à cause de difficultés qu’il aurait à être validé par cet organisme, validation nécessaire pour distribuer le film en Chine mais aussi à l’étranger. Ca énerve. En se gardant bien d’extrapoler, ce qui est pourtant plus que tentant, Tsui Hark n’a pas pu présenter son dernier film All about women à Pusan au début du mois parce que, et là je cite « hollywoodreporter.com » : « l’œuvre n’a pas pu être approuvée à temps en raison des vacances nationales chinoises ». Ben voyons. Ok, ok, je n’extrapole pas… N’empêche, peut-être qu'il a voulu feinter avec son Missing, à ce point sciemment nul que l'objectif en était peut être de pousser la censure à ne pas vouloir jeter un œil à un autre de ses films. « Allez hop, ça passe ! » s’est-il peut-être dit, « la nullité est inoffensive, au suivant ! ». Paf, raté. Il n’est pas près de nous repondre du sulfureux comme Green Snake le bonhomme. Ok, ok, j’extrapole.

Ip Man est prévu en sortie HK le 18 décembre.

Sources : Kaijushakedown, Hollywoodreporter.com, Filmsactu.com, Wikipedia
Arnaud Mirloup

Arno Ching-wan

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5/10/2008 20:45

Un trailer pour Dragonball

Des fois on se dit qu'il est dangereux de toucher à certains mythes. Ou alors il ne faut pas s'armer de grosses prétentions, c'était le cas ici par exemple. Après les images qui vont suivre, comment penser une seule seconde que ce machin est visiblement très attendu par une armée de personnes (surtout si l'on en juge les infos ici)? Fin du suspense, voici ce que DragonBall signé James Wong (Destination Finale 3, The One...) vous proposera : un Goku au charisme de navet, des grosses bagnoles, un Chow Yun-Fat professeur de Tai-Chi, des bagarres et des bisous.

Jugez vous-même avec un trailer proposé ICI.

Xavier Chanoine

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1/10/2008 21:16

52ème Festival du film de Londres

Voilà la news So British de la semaine, et pour cause, du 15 au 30 octobre prochain aura lieu le 52ème Festival du film de Londres sous la houlette de BFI et The Times. Au total ce seront 189 films et 108 courts qui seront présentés dans la capitale dont une grosse partie consacrée au Cinéma du Monde, comprenant évidemment des métrages d'Asie.

Seront présentés cette année dans différentes sections:

- 24 City de Jia Zhang-Ke (Chine)
Chengdu, dans le Sichuan, aujourd'hui. L'usine 420 et sa cité ouvrière modèle disparaissent pour laisser place à un complexe d'appartements de luxe : "24 City". Trois générations, huit personnages: anciens ouvriers, nouveaux riches chinois, entre nostalgie du socialisme passé pour les anciens et désir de réussite pour les jeunes, leur histoire est l'Histoire de la Chine.

- Achilles and the Tortoise de Kitano Takeshi (Japon)
La vie de Machisu, peintre sans succès tentant désespérément de continuer son chemin...

- All Around Us de Hashiguchi Ryosuke (Japon)
La chronique d'un mariage sur huit ans. Entre aléas et bouleversements. Avec Susumu Terajima.

- Colours of Passion de Ketan Mehta (Inde)
L'histoire sensuelle de l'artiste Raja Ravi Verma, entre banalités et amours...

- Firaaq de Nandita Das (Inde)
L'histoire revient sur les émeutes Indo-musulmanes à Gujarat en 2002.

- German + Rain de Yokohama Satoko (Japon)
Une jeune fille de 16 ans difficilement domptable en proie avec son patron s'occupe d'un jeune allemand qui souhaite devenir une fille, le tout sous fond de musique. Récit de famille brisée et de maltraitance d'enfants.

- Good Cats de Ying Liang (Chine)
Derrière l'image d'une Chine qui s'effondre peu à peu sur le plan moral, un mariage qui vire parallèlement peu à peu au cauchemar...

- Hansel and Gretel de Im Pil-Seong (Corée du sud)
Relecture libre, dark et étroite du conte des frères Grimm.

- Jay de Francis Xavier E. Passion (Philippines)
Satire sur la société de consommation et la téléréalité, combinée à la pauvreté du Tiers-Monde.

- Night and Day de Hong Sang-Soo (Corée du sud)
Les aventures amoureuses d'un expatrié coréen à Paris, étalées sur deux mois.

- Quick Gun Murugan de Shashank Ghosh (Inde)
Comédie loufoque mettant en scène un pistolero indien dont la mission est de sauver à la fois les végétariens et le monde. Tout un programme.

- Routine Holiday de Li Hong-Qi (Chine)
Le poète et écrivain Li Hong-Qi dissèque les logements en banlieue chinoise et y expose ses mystères.

- Still Walking de Koreeda Hirokazu (Japon)
La chronique d'une famille japonaise : tout ce qui l'unie et la divise sur 24 heures.

- The Secret de Joko Anwar (Indonésie)
Un film qui compile tout et n'importe quoi : film noir fantastique avec comme toile de fond une large place laissée à la politique.

- The Warlords de Peter Chan (Chine)
Trois frères d'armes, dont deux amoureux de la même femme, défendront leur village, avant de s'attaquer à tout l'Empire.

- The Witch of the West is Dead de Nagasaki Shunichi (Japon)
Mai est une jeune fille perturbée. Elle déteste son école et refuse d'y aller. Ses parents, désespérés, décident de l'envoyer chez sa grand-mère anglaise vivant dans le Japon rural.

- Tokyo! du trio Gondry/Carax/Bong Joon-Ho (France, Corée du sud)
Le film est composé de trois chapitres, chacun d'entre eux étant librement inspiré par Tokyo et tourné au coeur de la ville...

- Under the Tree de Garin Nugroho (Indonésie)
Trois histoires différentes à propos des femmes, des naissances et de la mort sous fond de culture typique de Bali.

- The Red Army de Wakamatsu Koji (Japon)
Vie et mort de l'Armée Rouge Japonaise de la fin des années 1960.

- Welcom to Sajjanpour de Shyam Benegal (Inde)
Une comédie à propos d'un écrivain frustré qui envoie des lettres à ses amis villageois, créant ainsi la zizanie.

- Wonderful Town de Assarat Aditya (Thaïlande)
Un homme loue une chambre de motel dans une ville isolée du reste de la Thaïlande. Lentement, mais sûrement, il va développer une certaine attirance pour la propriétaire des lieux.

- Yah Chayka! du duo Tanikawa Shuntaro/Kaku Wakako (Japon)
Un homme suicidaire est sauvé par une jeune femme illuminée travaillant dans un petit observatoire astronomique.

Si vous vous sentez d'attaque à faire vos valises pour Londres...reste à voir si l'Eurostar brade ses tarifs, certes. Quoi qu'il en soit, le Festival se tiendra du 15 au 30 octobre 2008.

Informations et billets ICI.
Accès et salles ICI.

Xavier Chanoine

• http://www.bfi.org.uk/lff/

22/9/2008 20:05

La ruée vers l’Or !

… Voilà un titre qui évoque celui, rigolo, de La ruée vers Laure, film de boules où l’on voyait la fameuse actrice Laure Sinclair y jouer joyeusement de ses seins clairs. Lord Brett, un peu plus qu’amicalement sien, ne s’en est jamais vraiment remis, quant à Anne elle renia sa sœur sur le champs en la voyant s’y ébattre.

Voici un petit communiqué de presse Kaze en guise de dépêche concernant une réédition des Mystérieuses cités d’Or, une pub qu’on balance là, comme ça, parce que l’objet vanté mérite quand même que l’on s’y penche un brin. Il a tout d'un fantasme sur le point d'être atteint. Seul gros hic : le prix, car pour pouvoir vous ruer vers cet or là il vous faudra au préalable vous ruer vers l’or qui vous permettra de vous la payer, cette ruée vers l’or. Est-ce moins cher de voir une Laure débraguetter Sinclair ?...

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« Après 25 ans d'existence, la série culte de Jean Chalopin et Bernard Deyriès (Inspecteur Gadget, Ulysse 31) est enfin disponible dans une édition DVD collector comprenant tous les épisodes re-masterisés. Diffusée pour la première fois en France sur Antenne 2 en 1983, cette production franco-japonaise est le pari de créateurs soucieux de réaliser un programme qualitatif et pédagogique à destination du jeune public. Et après 25 ans d'existence, la série continue de faire rêver petits et grands, avec cette année une diffusion sur la chaîne familiale n°1 de la TNT, Gulli.

(...) Pour réaliser ce projet, Kaze a travaillé en étroite collaboration avec Movie Plus, la société des créateurs de la série, pour redonner une nouvelle jeunesse aux masters originaux, en effectuant une re-masterisation complète des 39 épisodes de la série.

Pour cette version, Kaze a réalisé une édition collector numérotée contenant de nombreux suppléments inédits en France. Elle comprendra entre autres un DVD de bonus inédits d'une heure, le roman de Scott O'Dell à l'origine de la série, et deux livres autour de la série et de ses références historiques.

Pour la première fois la série sera également disponible en version bretonne, grâce à sa diffusion sur TV Breizh.

LES MYSTERIEUSES CITES D'OR

INTEGRALE COLLECTOR NUMEROTEE RE-MASTERISEE

Réalisateurs : Bernard Deyriès, Mitsuru Kaneko
Scénario : Jean Chalopin
D'après le roman de : Scott O'Dell
Chara Design : Toshiyasu Okada

Série TV française - 39 épisodes - 25 minutes par épisodes - 1982

Intégrale : 8 DVD (dont 1 DVD de Bonus) - 39 épisodes re-masterisés

Suppléments :
- Le roman « LA ROUTE DE L'OR » de Scott O'dell
- 1 Livre sur l'univers de la série (environ 60 pages)
- 1 Livre encyclopédique (environ 60 pages)

- 1 DVD Bonus :
o       Comparaison Storyboard / Séquences (7min 23)
o       Scènes coupées (2 min 10)
o       Les coulisses de la production (36 min)
o       Les origines de la série
o       Extrait d'un épisode en japonais (5 mn)

Langues : français, breton

Public: tous publics

Prix public : 99,95 » ¤

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Voilà pour la news. Vous l’aurez compris : l’avantage de taille, c’est la version bretonne. Soyez rassurés, une pétition a déjà été signée pour qu’une version berrichonne soit disponible sur la prochaine édition.

Arno Ching-wan

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21/9/2008 13:50

Le dernier Ishii Katsuhito en DVD !

Les fans du réalisateur de Taste of Tea (entre autres) peuvent sortir le champagne puisqu'est attendu prochainement en dvd son dernier film, My Darling of the Mountains, avec des sous-titres anglais. Pour une fois que les éditeurs japonais y pense, ça fait juste plaisir. Le film sera proposé dans deux éditions différentes, une classique et une autre monstrueusement luxueuse. A noter que le film est un remake d'un classique du cinéma japonais de SHIMIZU Hiroshi mettant en scène deux masseurs aveugles.

Sortie prévue le 10 décembre 2008.

Source : Yesasia

Xavier Chanoine

• http://www.yesasia.com/us/yamanoanatatokuichinokoipuremiamuedhishonshokai/1011983267-0-0-0-en/info.html

16/9/2008 14:12

Yoshiki et Kurosawa?

Yoshiki, le célèbre batteur, pianiste, auteur et compositeur du groupe X Japan (pionniers du Visual Kei durant les années 80 au Japon) a annoncé lundi dernier durant une conférence de presse publique à Tokyo qu'il signera la bande-son d'un grand documentaire sur KUROSAWA Akira qui devrait sortir courant 2010. Rappelons que X Japan sera de retour pour une tournée mondiale, leur concert à Bercy (Paris) est toujours maintenu pour le 22 novembre 2008.

Source : Orient Extrême

Xavier Chanoine

8/9/2008 0:24

Du nouveau à la MCJP

Le programme officiel des projections ciné de la Maison de la culture du Japon à Paris vient de tomber. Il est disponible ICI dans les rubriques du sommaire. Le gros de l'évènement est bien sûr consacré aux grands studios japonais. La première partie rassemblait quelques classiques du studio Nikkatsu, cette fois-ci c'est l'énorme studio Shochiku qui est au programme avec une palanquée de classiques inédits mais aussi de reprises issues des sorties DVD en partie éditées par Wild Side. A noter la présence de quelques opus (sans respect chronologique) de la légendaire série des Tora-san encore inédite chez nous en DVD alors que l'intégrale entièrement remasterisée est sortie au Japon dans une valise luxueuse d'une valeur de près de 200 000 yens. De la folie.

La rétrospective Shochiku débute le 9 septembre et prendra fin le 4 octobre. Autant dire qu'il ne faudra pas perdre de temps et trouver des trous dans son planning pour ne pas louper l'immanquable d'avant-guerre.

A partir du 23 octobre, la maison rendra hommage au grand maître du cinéma japonais, KUROSAWA Akira, avec la projection de 4 films: Le Château de l'araignée, La Forteresse cachée, Sanjuro et Barberousse. Une mini rétrospective à l'occasion de la disparition du cinéaste voilà dix ans déjà.

Xavier Chanoine

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